Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/01/2007

LA MALEDICTION (Mokrane Aït Lounès)

 

L'inspiration de la légende me vient d'une phrase

Toute aussi légendaire. Cette phrase dit :

 

Quand il y a un homme digne de régner sur le peuple on le tue,

Certains pensent que c'est de la jalousie,

D'autres répondent que c'est une malédiction,

Moi, je suis parmi ceux qui disent que cela est une malédiction, comme dans la vie tout a une fin,

Aujourd'hui l'esprit de nos ancêtres dit, à travers cette légende

Que la malédiction qui a envoûté le peuple AMAZIGH est finie !

 

J'espère que la réflexion de cette légende, sera pour le peuple,

Une cession d'acte de l'histoire

Sur le déchirement de la culture AMAZIGH

 

Pour vous résumer la force et le respect de la dignité d'un peuple, un dicton dit :

Avec un doigt, je ne fais pas le poids,

Avec deux doigts, je soulève un petit pois,

Avec deux mains, je soulève l'équivalent de mon poids

Avec un peuple uni, je soulèverais des montagnes dans le chaud ou le froid.

 

 

La malédiction

Mokrane Aït Lounès

Essai

La Société des Écrivains

Paris, 2005

(4ème de couverture) 

     

Commentaires

Seul en me projetant dans l’avenir je peux me définir
Car le passé exténué il ne me reste qu’un souvenir
Le présent, l’orgueil et l’égoïsme, me cachent la lumière
De mon histoire obscure à blâmer, je ne peux être fière.
Maudit par le temps comme une virgule sur un tableau noir
Même si je marque le présent d’une autre ligne provisoire
Je ne suis toujours qu’une virgule ne possédant aucun pouvoir
Le chapitre que j’ai écrit est mon fardeau et aussi mon espoir
Mieux dire ce que l’on pense de rester une virgule sur un tableau noir.

Mokrane Aït Lounes

Écrit par : nazef mohand AmoKRANE | 07/04/2008

J'espère que vos écrits feront bouger les choses!

Et, du même coup, faire connaitre notre culture.

Écrit par : amazigha | 12/03/2009

Les commentaires sont fermés.