17/07/2007
Identité par le Groupe DJURDJURA
Identité Version Live (Groupe Djurdjura)
Texte récité en langue française
(Laissez-moi vous raconter
Dans le froid du mois de Janvier
Quand elle a pris le bateau.
Un bateau, c'est toujours beau
Les souvenirs s'en vont au fil de l'eau.
À Marseille, débarquement
Elle a changé de vêtements,
Changé de langue, changé de lit.
« Bonjour la vie »
« Papiers, s’il vous plait, passeport,
Nationalité, carte d'identité »
IDENTITÉ
Silence
Les jours se sont enfuis
Fleuris par les sourires
Les arbres et les fruits.
C'est comme ça quand on est petit.
Et puis le printemps est parti
Et les illusions aussi !
IDENTITÉ
Silence
Une lumière, des larmes
Un cri de liberté, des années d'amertume
La guerre d'Algérie
IDENTITÉ
Elle avait les dents si blanches
Un sourire si frais
Qu'on aurait dit
Un poème sur la Paix
Mais la paix, elle connaît pas
Car sa vie est un combat.
IDENTITÉ
Profession du Père : Ouvrier
Fatigué, il parlait à sa manière
Un peu tendre, un peu aigri
Puis un jour, il est parti.
IDENTITÉ
La Mère : profession ? néant.
Elle s'occupait des enfants
Les aimait à sa manière
Un peu raison, un peu passion
Puis un jour, il a fallu couper le cordon.
IDENTITÉ
Elle avait l'air d'une Princesse
Pourtant, elle pleurait sans cesse
Le soir, après ses ménages
Elle rêvait de grands voyages.
IDENTITÉ
Elle était gaie en arrivant
C'est vrai elle avait dix ans.
Aujourd'hui, elle grandit
Pour être libre et fière.
Elle parle toujours le berbère
Elle lance des S.O.S.
Racisme, Justice, Détresse
Amour et Paix sur tous les continents.
S.O.S. répond absent.
Il n'y a pas d'abonné
Au numéro que vous avez demandé.
Il n'y a pas d'abonné
Au numéro que vous avez demandé.
Djouhra ABOUDA
17:25 | Lien permanent | Commentaires (11) | Facebook
Commentaires
Ahcene Mariche vous envoie trois poèmes tirés de son dernier recueil Tiderray (contusions) en kabyle et en français
Mebla d tiaad
A tin-iyi-d-yettassen
Mebla ula d ttiaad
A tin iyi-d-yettzuren
Ur fhimegh weraad
A tin iyi-ssefrhen
Azal-im izad
Txeddmedh ccghel-im
Ur d-cliaadh deg-i
Tettawdhedh iswi-m
tter tezridh i nekki
Lawan yakk d rray-im
Werdjn tcawredh-iyi
Xas ma nemwalaf
Ur frizent wallen
Tikwal nettemsaaf
gher wayen i agh-icerken
Xas ma nemxallaf
D win ikem-itebeen
Yiss-m nekk ttêussugh
Xas ur ttifen ifassen
I d-teqqaredh ad tarugh
Xas ur slin imzzughen
D isefra i ten-derrugh
U zgan d ighezfanen
Xas ma beddlegh amkan
Nekk ur m-fkigh tansa
Lawan-im d lawan
Mi ara therrek tassa
Tasraft-iw ad d-tban
Mi tebghidh taghawsa
Ur teseidh yiwen webrid
Ttawin-kem-id irkell–i
Aawin-im d icerrid
Negh d i ezizen fell-i
Tistent xas ur temsid
Din din yekfa kulci
TTaq tawwurt ghelqen
Reglegh ula d lecqayeq
Ur yelli i d-yeqqimen
Ula d tazulight teghleq
D acu i kem-id-yessawdhen
D avu negh d lebraq
Wahmegh amek i d-tettasedh
Alamma kan tewwdhedh-iyi-d
Wala amek tettruhedh
D awhid tettadjadh iyi-d
Ad-kem-djegh ad textiredh
Yiwen wawal ini-yi-d
Ilebda yid-i ad teqqimedh
Negh lehna-w sehder iyi-d
Hemmlegh-kem, kerhegh-kem
Imi zidedh, rzagedh
Hemmlegh-kem, kerhegh-kem
Fessussedh, ézzayedh
Hemmlegh-kem, kerhegh-kem
Akken tsehledh i twaaredh
Hemmlegh-kem, kerhegh -kem
Akken thedqedh , i tqebhedh
Sans rendez-vous
Toi, qui d’elle-même s’invite
Sans aucun rendez-vous.
Toi, qui me rends visite
Dont j’ignore les dessous.
Toi, qui me réjouis sans limites,
Ton mérite dépasse le tout.
Tu vaques à tes affaires
Ignorant jusqu’à mon existence.
Tu atteints ce que tu espères,
Me laissant que des souffrances.
Tu décides du temps comme tu le préfères,
Te moquant toujours de mes préférences.
Même si on s’est habitué en permanence
Mon regard ne t’a guère admiré.
Nous faisons des concessions d’allégeance
Concernant nos communs intérêts.
Quelles que soient nos différences,
Je demeure ton fidèle passionné.
Je suis sensible envers toi
Bien que mes mains ne t’ont effleurée.
J’écrirai tout ce qui sort par ta voie
Bien que les oreilles n’ont rien écouté.
J’en ferai des poèmes toutefois,
Dont la longueur sera inégalée.
Même si je change d’emplacement
Sans te communiquer mon adresse.
Ton temps s’avère le moment,
Dès que ton cœur est touché par la tendresse.
Mon gouffre te paraîtra évident
Et je comblerai tout ce qui t’intéresse.
Tu n’as pas d’itinéraire singulier,
Tous les chemins t’y conduisant.
Ton viatique, est-il amer et déprécié
Ou précieux comme je l’attends ?
Même si le pique n’est pas aiguisé,
Tout se résout comme par enchantement.
La porte et la fenêtre sont fermées,
J’ai même bouché les accès ouverts.
Aucun coin n’est négligé
Y compris les caniveaux divers.
Par où es-tu donc passée,
A travers le vent ou l’éclair ?
Il m’arrive de t’aimer, de te haïr,
Tu es aussi douce que désagréable.
Il m’arrive de t’aimer, de te haïr,
Tu es aussi délicate qu’insupportable.
Il m’arrive de t’aimer, de te haïr,
Tu es aussi familière qu’inabordable.
Il m’arrive de t’aimer, de te haïr,
Tu es aussi polie que décevable.
J’ignore par quel moyen tu arrives
Quand tu atterris chez-moi ?
Plutôt, comment tu t’esquives,
Me laissant seul, pantois ?
Il est temps que tu prennes l’initiative,
Entendre un seul mot de toi.
Restons ensemble à jamais si tu arrives,
Sinon, rends-moi la paix que tu me dois !
-– Adrim
Adrim nezrat d ttawil
I ittehwidj yal yiwen
Azal-is i t-yezran d igellil
Negh ahat d imerkantiyen
Ma d les richards ahlil
Yezga yettughru-ten
Adrim yessuffugh laaqel
I win ghef i d-yehdef
Yettara-t ini yemxel
Yeddehim mebhal ilef
Itteewwil ad irehel
Negh deg wadhu ad d-yettef
Xas ma ussu yettadh-d
S yidhes ur d-igellu ara
Xas ma lmakla tettawidh-d
Lbenna ur tettafedh ara
Ddheb d lfetta ma ternidh-d
Zzin ur yettnuz ara
Ad taghedh timusniwin
Ma d lehbab ala
Adrim ad ak-id-ibnu lehsin
I lmutt ur tsellkedh ara
Ad ak-id yextir di tmeqqerin
Deg igenni ur tezmiredh ara
I ghlayen yewwedh isiwadh
Mi t-id mennadh yella
Ma d rrezg ur twaladh
Ttedrent at-nneyya
Xas imnayen ad d-hiwledh
AAlem ur k-ttseliken ara
Ddwawi merra ad d-taghedh
Tazmert ulamek ara
Isafaren ad ten-id-tafedh
Ar lehna ur tettnuz ara
Zzhu ttnefcic twulfedh
Daxel ik laghmam yezga
I tebghiv ad at-id-taghedh
Mi ifat tkesbedh achal
Ala ayen ur tefrizedh
D wi d-yesseghlayen aqlal
Ur d-ttaran rruh teelmedh
D acu tdhemeaadh deg uffal
Idrimen ttawind achal
Ssah ur as ssawdhen
I d-ttawin d ajeghlal
Mi immar wi t-iaamren
Alama kan ifat lhal
I d-yettban lexdaa-nnsen
Aaddi ass-a eg ssuma
I rrezg lferh d tezmert
Wamma ihbiben d lehna
Tayri dderya annect
Teghzi n laamer, lmaana
Imelyaren-ik d taakemt
Ur k-ssawdhen s anda
L’argent
Nous savons que l’argent est un moyen
Et une nécessité pour tout individu.
Sa valeur est appréciée par le mesquin
Ou bien même les bourgeois reconnus
Quand aux richards je les plains
Il les déroutent, et sont toujours à l’affût.
L’argent fait perdre le bon sens
Pour les riches des derniers temps.
Il les pousse, à vrai dire, à la démence,
Fonçant tel un sanglier menaçant.
Dans les airs, ils voudraient qu’ils s’élancent
Ou s’accrocher carrément au vent.
Acheter un lit, on le sait chose simple,
Il ne peut, hélas, garantir l’endormissement.
Même s’il procure une nourriture indispensable,
Tu ne lui trouveras aucun goût cependant.
Pare-toi d’or et d’argent si tu es capable
Mais sache que la beauté ne se vend.
Tu t’achèteras des connaissances
Mais au grand jamais d’amitié.
L’argent te bâtira une forteresse de convenance,
Mais la mort ne pourra t’épargner.
Tu pourras choisir ta tombe à l’avance
Mais au ciel tu ne pourras l’assurer.
Tu te permettras tout désir de valeur
Et tes espérances seront comblées.
Mais tu ne verras plus le bonheur,
Héritage exclusif des déshérités.
Même une armada de guerriers prometteurs
Ne pourra plus jamais te sauver.
Tout remède sera à ta portée,
Sauf bien sûr la vigueur !
La médication te sera d’un abord aisé
Exceptée la paix qu’on ne trouve chez les vendeurs.
La vie t’a gâté de plaisirs et de fierté
Mais au fond, tu débordes de peine et de douleur.
Tu achèteras tout ce que tu désires
Etant donné que tu as plein de sous.
Tout ce que tu arrives à découvrir
Et ce qui te séduit surtout.
Cela ne pourrait t’empêcher de mourir,
Qu’attends-tu d’un simple bambou ?
L’argent procure tant de choses
A l’essentiel il ne pourra accéder !
Ce n’est que les coquilles qu’il entrepose
Une fois de leurs contenance elles sont vidées.
Une fois l’effet justifié par la cause,
S’éclaircit alors la trahison avérée !
A présent, vas-y mettre un prix
Au bonheur, à la joie et à la santé.
Autrement dit, la paix, les amis,
L’amour, la multitude d’héritiers
La vertu et la longue vie…
Tes milliards ne sont qu’un fardeau malaisé
Qui ne t’ont assuré aucune garantie.
– Lhewj yesnulfa-iyid
Lhewj yesnulfa-iyi-d
D amekkan iga-iyi-d
Di tudert n wemdan
Achal d udem ifka-iyi-d
Yal talgha igerrez- itt id
Yecfa-yasent-id zzman
Achal s wayes i d-ceghlegh
Ccghel ad t-ssisehlegh
I wina iyi-d-yesnulfan
Achal d lhadja i gezmegh
Lxedhra, asghar sqecregh
Rnu ula d ikesman
Simmal lecghal ttgerrizegh
S yiman-iw ferrhegh
La tettnerni leezza-w
Si tkuzint wellah ar d-ffghegh
Di tdjoukhritt yak ughalegh
Rnan-iyi di ccbaha-w
ghef lêiv ttueellqegh
Lmefruz imedhqan rsegh
Hemmlen iyi medden irkeli
S leezz ay ttwattafegh
D imerkantiyen, slatten ddregh
Lihala-nsen teedjeb-iyi
A tawaghit i d-idhehren
Yir amdan mi-iyi-ssexdem
Ula di yir lecghal
Yiss-i ay ttuwecmen
R nu achal yemmuten
Rran-iyi d yir lfal
Di dqiqa teghli yiss-i
Ghligh-d yak si laali
Ssethagh s yiman-iw
Grigh-d gher lqadhi
Mi ihkem ghef lassi
Mmektagh-d lhemm-iw
Ass-a ihwel lebhar-iw
Mmektagh-d akk tid-iw
D wansi yak i d-aaddagh
Times tbeddel-iyi udem-iw
Tafdhist tefka talgha-iw
S lmilaq leqdhaa kesbegh
I ijujah akk sebregh
I trabuzt mi sellegh
Lxater-iw iswehwih
Gher kra hercawen mesdegh
D lmilaq negh d adghagh
Akken ad iqdhiaagh mlih
I tigi yak i wumi sebregh
D wamek ghur-wen d-wwdhegh
Ay husbegh ma drus
Gher kra d lxir i xedmegh
I wiyadh d ccer i d-udjwegh
Ma ur iyi-taaqilem d lmus
Le besoin m’a inventé
Le besoin m’a inventé
Ayant une place réservée
Dans la vie de l’être humain.
De tous visages, il m’a doté,
Avec des formes variées,
L’histoire étant témoin.
Je m’occupe de toutes activités,
Je rends la tache aisée
Pour celui qui m’a découvert.
Oh ! Combien de choses ai-je coupées,
Légumes, maint bois taillés
Et quartiers de viande divers !
Au travail, je me perfectionne,
Etant fier de ma personne,
Ma valeur ne cesse d’augmenter.
A peine sorti de cuisine que j’abandonne,
D’un fourreau, on me couronne,
Chose qui me procure la beauté.
On m’accroche au muret,
Me réservant des coins préférés,
Parce que l’on me vénère.
On me saisit avec fierté
Dans la vie royale ou celle des aisés,
Celle d’ailleurs que je préfère.
Cependant, oh ! Quelle fatalité
D’être utilisé par un forcené
Pour commettre un carnage !
A cause de moi, on a balafré,
Beaucoup sont assassinés
Jusqu’à me qualifier de mauvais présage !
En une minute, tout s’en va,
Je m’écroule au plus bas,
Ayant honte de moi-même.
Devenu otage de l’homme de loi
Qui condamne ce malfrat,
Alors, je revois tous mes problèmes.
Ma mer, à présent, est déchaînée,
Me rappelant tout le passé
Et de toutes les voies déjà prises.
La flamme m’a défiguré,
Le marteau a pris le relais
Avec la pierre, on m’aiguise.
A tout feu, j’ai résisté,
Je n’entends que le soufflet
Qui malmène mon état.
A toute surface rude, on m’a aiguisé
A la ponceuse ou au rocher
Pour avoir un tranchant adéquat.
Voilà donc ce que j’ai enduré
Avant de vous rencontrer,
N’est-ce pas un vrai tourment ?
Chez certains, j’ai fait preuve de bonté,
Chez d’autres, j’ai causé des méfaits,
Le savez-vous ? Je suis le tranchant !!
Ahcene Mariche
site web http://ahcenemariche.free.fr
NB/ ces trois poèmes sont tirés de mon dernier recueil intitulé TIDERRAY (CONTUSIONS) paru il ya une dizaine de journées.)
Écrit par : ahcene mariche | 28/07/2007
ahcene mariche présente ses quatres recueils de poésie
Id Yukin
Id Yukin (Les nuits volubiles)Id Yukin (Les nuits volubiles) est le premier recueil de poésie, édité à compte d’auteur, du poète Ahcène MARICHE, préfacé par Kamel Naït Ameur, il est composé de 32 poèmes en Kabyle avec leur traduction en Français réalisée par O. Idir.
Fiche technique du recueil :
Titre : Id yukin (Les nuits volubiles)
Auteur : Ahcène MARICHE
Édition : A compte d’auteur
ISBN : 9947-0-0845-2
Nombre de pages : 112
Prix public : 180 DA
le deuxième recueil de Ahcene Mariche
Taâezzult-iw
« Taâezzult-iw » (Confidences et mémoires)Après avoir signé « Id yukin » (Les nuits volubiles), en 2005, le poète Ahcène Mariche, revient, une année après, avec un second recueil de poésie intitulé : « Taâezzult-iw » (Confidences et mémoires).
Celui-ci est édité à compte d’auteur, comme le premier, il a été préfacé par Djamel BEGGAZ, il est composé de 25 poèmes écrits en langue kabyle avec leur traduction en langue française réalisée par Mohamed Melaz.
Sorti le 07 mai dernier, « Taâezzult-iw » (Confidences et mémoires) est, actuellement, disponible au niveau des grandes librairies de la Kabylie et dans quelques-unes à Alger et à Oran, en attendant sa distribution à grande échelle.
Fiche technique du recueil :
Titre : « Taâezzult-iw » (Confidences et mémoires)
Auteur : Ahcène Mariche
Édition : A compte d’auteur
Traduction : Mohamed Melaz
Préface : Djamel BEGGAZ
Conception : BEGGAZ.Info
ISBN : 9947-0-1264-6
Nombre de pages : 122
Prix public : 180 DA
le troisième recueil de Ahcene Mariche:
Tiderray
Tiderray, contusionsAprès avoir signé « Id yukin » (Les nuits volubiles), en 2005, « Taâezzult-iw » (Confidences et mémoires), en 2006, Ahcène Mariche revient cette année avec « Tiderray » (Contusions).
Celui-ci est édité à compte d’auteur, comme le premier, il a été préfacé par Djamel BEGGAZ, il est composé de 25 poèmes écrits en langue kabyle avec leur traduction en langue française réalisée par Mohamed Melaz.
Sorti en juillet dernier, « Tiderray » (Contusions) est, actuellement, disponible au niveau des grandes librairies de la Kabylie et dans quelques-unes à Alger et à Oran, en attendant sa distribution à grande échelle.
Fiche technique du recueil :
Titre : « Tiderray » (Contusions)
Auteur : Ahcène Mariche
Édition : A compte d’auteur
Traduction : Mohamed Melaz
Préface : Djamel BEGGAZ
Conception : BEGGAZ.Info
ISBN : 978-9947-0-1766-1
Nombre de pages : 122
Prix public : 180 DA
le quatrième recueil de AHCENE MARICHE:
Voluble Nights
Voluble NightsVoluble Nights est la traduction anglaise de Id Yukin (Les nuits volubiles) qui est le premier recueil de poésie, édité à compte d’auteur, du poète Ahcène MARICHE, préfacé par M. Nabil Boudraa, il est composé de 32 poèmes traduits en Anglais par Dalila Aït Salem.
Fiche technique du recueil :
Titre : Voluble Nights
Auteur : Ahcène Mariche
Édition : A compte d’auteur
Traduction : Dalila Aït Salem
Préface : Nabil Boudraa
Conception : BEGGAZ.Info
Nombre de pages : 60
Prix public : 120 DA
Écrit par : ahcene mariche | 05/06/2008
Azul.asegwas amegaz
Écrit par : djebara | 02/01/2009
azul .Asegwas amegaz.
A mouh N' mouh aweth akavech
si zik n' zik tabah uleeeeeeeeech
........
Écrit par : Djebarra.S | 02/01/2009
J'ai appris que Mohand Abouda est votre frère et qu'il vous a créé des problèmes en France.
Pouvez vous nous dire si c'est vrai ?
Écrit par : tabrats malika | 16/08/2009
Je suis d'origine algérienne.
Mohand Abouda a bien sûr créé des problèmes à sa soeur djohra qui a en fait même un livre.
Merci Malika Tabras
Écrit par : lila meskinet | 16/08/2009
Voilà ce qu'en dit Djura dans "La saison des narcisses" :
Par-dessus tout, je ne pouvais imaginer qu'un être chéri et dorloté à qui j'avais donné le biberon viendrait un jour me menacer d'un revolver alors que je serais enceinte de sept mois Même si aujourd'hui je veux tourner la page, je demeure mar¬quée par ce 29 juin 1987, ce jour où mon propre frère et ma nièce m'agressèrent sauvagement, faisant couler le sang sur la péniche où j'habitais avec Hervé, mon mari.
...
Soudain, la porte s'ouvrit brutalement et la suite fut un cauchemar qu'il me semble inutile et vain de ressasser. Ce furent les instants les plus tragiques, les plus démoniaques, les plus dévastateurs de toute mon existence. Quelque chose se brisa en moi. Plus rien n'avait d'importance que de sauver mon bébé des coups de mes agresseurs. Je revois mon mari, le visage ensanglanté, je me revois sur mon lit d'hôpital, risquant de perdre mon enfant. J'allais passer les deux mois qui me séparaient de mon accouchement à craindre le pire.
...
Écrit par : GéLamBre | 17/08/2009
Salut,
j'ai connu mohand abouda qui se fait passer pour un journaliste.
... ( Commentaire censuré par le BlogMaster)
Écrit par : malika | 21/09/2009
à lila meskinet ,
Un certain Mohand ABOUDA, un écrivain qui a raté la publication de ses deux livres et qui réside à ifigha dans la région de tizi-ouzou, prétend être journaliste. Il plagie des articles du net.
... (Censure)
Cet homme est dangereux. Il est le frère du groupe de chanteuses "les filles du djurdjura". Il a agressé sa soeur djouhra qui habite en france et qui a épousé un français. Cette artiste a publié un livre dans lequel elle n'hésite pas à critiquer son frère mohand. Tu peux d'ailleurs consulter ce site :
http://www.google.fr/search?hl=fr&source=hp&q=abouda+djouhra+le+voile+du+silence&meta=&aq=f&oq=
qui te décrit ce livre "le voile du silence"
Mohand passe son temps à dénigrer les journaux algériens (l'authentique, le soir d'algérie, el watan, infosoir, liberté...) et la religion musulmane. Il est athé. Enfin, il raconte à tout le monde qu'il est sur le point de créer un magazine écologique qu'il surnomme dans ses rêves "ecolomonde". Il paye ses "employés" par chèque sans provisions..
Écrit par : malika | 21/09/2009
Je suis Évelyne Girardon, chanteuse française, passionnée de traditions orales chantées. Depuis de nombreuses années par le biais de l'édition de CD, je m'emploie à transmettre ce répertoire dans un esprit d'ouverture et d'échanges culturels.
Je souhaiterais avoir l'autorisation d'enregistrer Attezzi Saa de Djouhra Abouda qui serait interprété par Soraya Mahdaoui, (amie chanteuse avec laquelle je croise les polyphonies depuis longtemps) en miroir à une polyphonie sur un thème de la tradition orale des Alpes françaises dont j'ai conçu l'arrangement.
Pour mieux me connaître : http://www.ciebeline.com/qui-est-qui/evelyne-girardon
Nous serions très heureuses et honorées de pouvoir avoir l'autorisation de porter cette magnifique chanson.
Mais nous ne savons pas comment joindre cette artiste. Avez vous une démarche à me suggérer ?
Écrit par : Girardon Evelyne | 19/04/2011
salut je dis a madame djohra qui a subie une téle déciption par son frére quelle n'e st pas la seule qui a vécu ça moi méme j'ai vécu sa mais d'un autre etre a qui j'ai fais confiance a qui j'ai tous fais de bien et de beau mais comme il est une petite personne malgré d'age avancé sa nous étone pas quand elle viene d'aussi bas et des ingrats c'est pas grave on continuer a fair de la vie des ingrats inkarén elkhir un printemps une vie faite de fleurs méme si eau ils ont fais de notre vie un volcon mais on réstrera toujour nous méme des pérsonne de grand esprit et des grande pérsonnes malgré le mal et la douleure merci.
Écrit par : saloua | 23/11/2011
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