30/09/2012
Paysage (Mouloud FATIS)
Honneur à la charmante Kabylie
-I-
J’adore à cœur la nature des banlieues du paysage
Aux endroits d’activité des récoltes et d’élevage
Du beau plaisir à contempler les lieux des paysans,
Dans l’ensemble, les hommes et femmes à tout âge
De leur pleine volonté de travailler du bon courage
Sont toujours solidaires envers toutes les saisons,
Je leur félicite vivement à tout ce sage personnage
Partout où sont : aux cités, en villes et aux villages
Chacun de quoiqu’il estime dans sa bonne raison !
-II-
Ces paysans s’encouragent par l’aide du Bon Dieu
Vers chaque moment qu’ils créent du merveilleux
Qu’ils travaillent vers la reviviscence de la nature,
Contemplons ces vues du très beau plaisir des yeux
Au printemps la verdure se fleurit dans chaque lieu
La nature s’épanouit du climat à vive température,
Passons les moments en banlieues c’est très joyeux
En périodes du printemps et l’été du temps radieux
Poursuivions le plaisir de la vie dans son allure !
-III-
La vie en pleine nature s’éclaire de sa vraie netteté
Nos cœurs ressentent joyeusement la vive volupté
L’amour du grand Seigneur n’aura jamais d’arrêt,
La joie d’amour de ressentir nos cœurs contentés
Envers l’esprit paisible de vivre dans la tranquillité
Telle la vie dépend chaque traversée dans sa durée,
Tout ce qui est joli de s’apparaître dans sa beauté
Le monde est comme ça, s’avance de sa fécondité
L’être qui s’attire par les choses dont leurs attraits
-IV-
L’étendue du paysage d’une bonne contemplation
Donnante beaucoup plaisir qui ôte l’appréhension
Soulève la vive joie au cœur s’évanouit des soucis,
J’adore énormément d’être en face de cette vision
Me paraît-il les vallons formés en vagues d’océan
Force de voir assez, de ressentir le cœur s’adoucit,
Les floraisons entourées des abeilles, des papillons
L’œil qui pénètre gaiement la joie par la jubilation
Dieu de son travail avait tout créé, on le remercie !
-V-
Chaque pays de sa nature envers son déroulement
La nature se vivifie dans ses richesses ouvertement
Après l’hiver le printemps se fertilise des richesses,
Peu à peu du temps, la vie succède de ses moments
S’avance à la va-vite, de nous apparaître lentement
Aux méthodes temporaires du sourire et le stress,
Parfois l’être se ressent de son climat parfaitement
D’autres fois, se replonge vers sa douleur fortement
La gaieté de son temps se renverse par la tristesse !
-VI-
Dire et redire les choses qui nous tiennent à cœur
Ça change souvent entre le malheur et le bonheur
Chaque période comment est-elle dans son présage ?
L’automne et l’hiver sont implantés dans la rigueur
Le printemps et l’été se retrouvent dans la vigueur
La vie elle-même qui a besoin d’un grand courage,
Rien ne peut s’avancer en cheminant dans la peur
Tôt ou tard, d’unique porte, chacun aura sa demeure
L’œuvre pie, c’est la richesse vers notre avantage ! »
Au courant du temps
Auto-Édition
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Commentaires
Kabylie le 20 octobre 2012.
Note d’information de mon activité sur le sujet social !
//))//))esieurs,
Je vous remercie infiniment chers collègues, car je suis très fière de me retrouvé entre vous « nos poètes, nos écrivains, de notre charmante Kabylie !
*
Mes œuvres littéraires lesquelles j’ai beaucoup donné l’énergie de mon effort de pouvoir donner mon appui à travers notre charmante langue berbère qui est évidemment notre chef-d’œuvre, depuis nos ancêtres sans cesse !
Mouloud FATIS : je suis aventuré dès 1997, de tout mes efforts de pouvoir monté plusieurs œuvres littéraires lesquelles destinées à notre noble culture berbère qui va nous permettre de trancher le chemin éducatif, lequel de nos nobles histoires berbère qui est une voie bien planifiée depuis plus de deux mille ans maintenant, à ce jour-ci cette voie littéraire est soutenue par son effort d’expression orale ! Aujourd’hui, le moment est venu que notre chef-d’œuvre de nos anciennes «nos histoires berbères » prendront le chemin de la vive clarté réellement envers une expression en sous-entendre. Cette expression est valeureuse, est nécessaire pour le futur de nos enfants et des autres enfants, et puis donc ne jamais gâcher ce que nous avons conservé dans nos mémoires ! Mes œuvres littéraires sont encore inédites, sont protégées avec soin, elles sont mon âme absolue ! Vous pouvez voir sur «face book » photo du mur, mes autres œuvres accompagnées d’un poème chacune comme celles-ci. La 1er c’est celle-là, la seconde l’amour est dans sont temps, la 3ème l’Algérie combattante. Pour les autres œuvres seront étudiées dont les 3 œuvres de sujets autrement dont leur poésie, les souvenirs d’enfance, et d’autres sujets divers.
J’appuie de tous mes efforts d’activer encore selon mes possibilités de ce qui est encore caché concernant notre chef-d’œuvre «nos anciennes histoires berbères » !
Veuillez chers Messieurs, mes salutations les plus distinguées.
Mouloud FATIS de la Kabylie Djurdjura.
A bientôt…
Écrit par : Mouloud FATIS | 20/10/2012
Pour la démocratie !
I
Si l’un des jours le printemps éclaira de retour !
Nous fêterons joyeusement la belle fête d’amour
Jours et nuits splendides d’ambiance de forte joie,
J’espère et je crois, arrivera l’un des beaux jours
Il restaurera nos beaux moments pour toujours
Notre situation se planifiera sur une bonne voie,
D’un fort espoir, il y aura l’arrivée de notre tour
Nous fêterons joyeusement notre fête à tambour
Aux chants de gaieté et fraternelle à douce voix !
II
Choisissons la période d’été dans chaque endroit
Dans chaque ville que chacun s’amusera chez-soi
Durant cette fête, aux jours et nuits splendides !
Ma révélation m’indique, je le ressens et je le crois
Les moments du haut bonheur arriveront à la fois
Notre printemps fleurira vivement se jaillir rapide,
Sera-t-il le grand bonheur de mettre fin à l’effroi
Notre charmante Algérie, sortira de son désarroi
Toutes les choses deviendront nobles et solides !
III
L’Algérie regagnera sa hauteur d’un bon guide
La démocratie qui filtrera cette situation fluide
La population sortira joyeusement de son noir,
La sécheresse qui batte la terre et devient aride
La fissuration vers chaque lieu en pleines rides
L’alternance restaure un printemps de la gloire,
Espérons les choses seront purifier très limpides
Notre nation regagne sa conscience bien placide
La stabilité recouvre sa soie de notre territoire !
IV
La gérance nouvelle de haute pureté d’un miroir
D’une joyeuse conduite limpidité du bon pouvoir
Avec soin chaque chose se déroulera sérieusement,
La guérison réussite de ressusciter nos mémoires
Et chaque individu se retrouvera dans son vouloir
Notre Algérie s’orientera vers son développement,
Nous avançons à la restauration de nos beaux-arts
Qui est un devoir de rétablir nos nobles histoires
A guérir peu à peu le malheur de nos moments !
V
Autour de nous, notre révélation, pousse de jaillir
Nos tristes cœurs regagneront leurs beaux sourires
Le soleil se lèvera vers l’arrivée de notre printemps,
Quant à notre fête arrive-t-elle de notre beau loisir
Amusons chaleureusement, et chacun de son désir
Cessons notre soif qui pénétrante de très longtemps,
Notre peine qui s’implantera devant nos souvenirs
Main dans la main, le bonheur qui va se resplendir
Vers l’air prospère, la joie jaillira son beau temps !
VI
A nos martyres que Dieu le tout-puissant envers eux
Il les accueillera en son vaste paradis, très heureux
Nos chahids offerts leurs âmes pour l’indépendance,
A notre période de forte braise, sont très douloureux
Horriblement vers ces amers aux souvenirs fiévreux
Notre horrible histoire s’inscrira de pleine conscience,
Ce fardeau des ans de braise qui est presque cendreux
On ne peut les ignorer, car nous les voyons nombreux
Pas-à-pas de temps de compléter nos expériences! »-
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Poème : de l’œuvre de Mouloud FATIS.
«L’amour est son temps ! »
Poème diffusé le 07 mars 2012 à 17 : 35.
sur Facebook. Voir la couverture d'oeuvre " l'amour est dans sont temps.
Écrit par : Mouloud FATIS | 21/10/2012
Ma langue maternelle !
-
I
Ta bienvenue ma réelle langue maternelle
Mon véritable langage à l’échelle spirituelle
Ta reviviscence souriante à la haute valeur,
Dieu merci qui t’a repoussé tes belles ailes
Tu es notre prospérité d’une voie essentielle
Car tu es l’artère principale de nos cœurs,
Aujourd’hui tu regagneras ta haute échelle
Tes fils illuminent joyeusement ta chandelle
Peu à peu de s’avancer en pleine largeur !
II
Avançons dans l’ensemble, et sans erreurs
D’un bon encouragement vers le bonheur
Car Dieu tout-puissant est un montagnard,
Au printemps la nature se jaillisse de fleurs
L’atmosphère s’influence de bonnes odeurs
Vraiment, tout le monde qui aime la gloire,
Tes enfants se sont tous des hauts chanteurs
Ainsi que se sont-ils des très beaux acteurs
Encore aiment-ils à faire des beaux-arts !
III
D’un bon courage s’escrimer de tout savoir
De l’intelligence brillante comme le miroir
Se maîtrisons d’une très bonne conscience,
Chacun s’orientera vers son beau regard
Observons spontanément notre territoire
Montrons honorablement notre intelligence,
D’une compréhension vers notre pouvoir
Et d’engagement vers le nouveau départ
D’équilibrer strictement nos balances !
IV
Pour ôter définitivement les circonstances
Qu’il faut se mettre envers la providence
D’aimer et d’encourager nos cerveaux,
On a vraiment marre de cette souffrance
Toujours comme ça, depuis notre enfance
De ce cheminement toujours sans niveau,
De la souffrance à subir les conséquences
Heureusement nos cœurs sont immenses
De savoir la peine combien qu’elle vaut !
V
Du temps et du temps passé dans l’erreur
C’était au moment de notre crise majeure
Des moments dans notre douleur sans nom,
Nous vivions horriblement que dans la peur
On a vraiment assoiffé de voir la splendeur
Un demi-siècle a bien succédé maintenant,
Le grand malheur a fait de nous sa terreur
Des décennies voilées envers notre bonheur
De l’une à l’autre s’est construit le chaînon !
VI
A qui à parler de bien faire les belles choses
Personne n’entend, tout le monde se repose
La parole stagne dans l’incompréhension,
Chacun monte dans sa façon sa belle prose
Et personne ne cherche de trouver la cause
L’histoire qui s’abîme dans son brouillon,
Et pourtant l’Algérie est une belle rose
Qui nous apparaît c’est de laurier-rose
C’est horrible de notre regard néant ! »
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- Poème d’œuvre de Mouloud FATIS
- Vol :03, L’Algérie combattante !
Poème diffusé le 06 mars 2012 à 12 : 20
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Encore diffusé le 22/10/2012.
Voir couverture facebook : alfatis2011@hotmail.fr
Écrit par : Mouloud FATIS | 22/10/2012
Anciennes histoires berbères !
Dans le temps comme disent-ils :
«Les animaux parlèrent.
*
Le lion et le sanglier.
-
C’était une fois dans le temps, le lion et le sanglier qui sont toujours des ennemis.
A chaque fois qu’ils se rencontrent dans la nature, que chacun poursuit sa nourriture de quoi à manger, et puis créent-ils méchamment leur dispute de se bagarrer avec leurs phrases haineuses.
Une fois durant l’automne qu’ils se rencontrent ainsi en hasard dans un champ des fruitiers, en fin des récoltes, que chacun d’eux chasse-t-il de quoi à manger. Afin qu’ils se voient l’œil pour l’œil, que chacun s’alourdit de son regard, et se changent de mots piquants, qu’ils se préparent à se bagarrer comme toutes leurs habitudes.
Afin de se partager quelques phrases dans leur persévérance, et se mettent-ils en bagarre, que chacun dégage sa colère !
Un instant se cessent-ils leur bagarre, et puis se mettent-ils face-à-face de se changer de mots de critique, que chacun attaque l’autre !
Le maître loin lui dit-il : «si tu es capable, fais-toi comme moi ! Le sanglier lui répond-il : «de quoi s’agit-il de faire comme toi salaud ! Le maître lion lui répond-il : «moi je pète le chat ! Le sanglier s’éclate du rire est lui répond-il : « vas-y, pète le chat salaud ! Le maître lion presse-t-il son estomac de faire tomber le chat ! Un bon effort d’énergie que le chat tombe de sa naissance !
O là, la, c’est quoi çà : «dit-il le sanglier !
Le sanglier, de son étonnement de voir ce chat tombé parterre, et puis lui dit-il ainsi : «moi aussi je pète le chat !
Le maître lion ainsi lui répond-il : «vas-y salaud pète-toi le chat si tu es capable de faire comme moi !
Le sanglier presse-t-il de son estomac, et puis le rat qui tombe parterre !
Le maître lion s’éclate fortement du rire, de voir le chat est tombé de sa naissance !
Dès le chat voit le rat tombe et le poursuit-il de le croquer, que le rat rentre dans le trou du rocher de se cacher.
Depuis ses moments-là, que le chat et le rat sont nés dans le monde de la nature, et se sont toujours des ennemis à vis, jusqu’à la fin d’existence ! »
-
Le chat est le fils du lion.
Le rat est le fils du sanglier.
Dans leurs apparences : le loin est un chasseur d’attaquer les proies, et monter sur les arbres !
Le sanglier vit dans la boue et dans les égouts, le rat aussi vit dans la boue et les égout ! »
-
Cette histoire d’or de son récit aux enfants d’or !
Bonne nuit les enfants, des autres belles longues histoires de pleine rigolade, seront au plus tard dans l’œuvre ‘ les soirées de plaisanteries ! »
*
Mouloud FATIS, de son accumulation cachée, et bien conservée depuis les moments de son enfance, qui sera destiner pour vous, nos enfants qui viennent se naître dans ce monde très avancé de son progrès ! »
Œuvre VI, les soirées de plaisanteries, couverture de l’œuvre voir Facebook « photos du mur ! »
- Le 22 octobre 2012.
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Écrit par : Mouloud FATIS | 22/10/2012
Vive inspiration !
*
I
Le monde s’enjolive de sa nature dans la joie
De ses méthodes satisfaisantes aux bonnes lois
S’entendent et se comprendre en même temps,
La vie est souriante merveilleusement parfois
Quand s’apparaît-elle douce d’une vraie soie
Quand l’hiver succédant envers le printemps,
Je ressens ma conduite est sur le chemin droit
Toujours gai et souriant comme le grand roi
De revenir envers ma jeunesse dès longtemps !
II
Aujourd’hui de voir les moments sont attristés
Chaque jour qui naît nous avance ver la gravité
Douloureusement de cette alternance infernale,
Où sont-ils les très beaux moments de la bonté
Chaque chose se retrouve dans sa joie et beauté
Cette fracture ressemblait à la cassure du cheval,
Nous vivions hors du courage, hors de la solidité
Le malheur chemine de ses horribles nouveautés
La colère qui s’élève à la bonne heure matinale !
III
Dieu maître des puissances agis-toi à la guérison
Le monde s’accumulait dans sa cellule en prison
Fais-toi d’agir de soulager cette triste situation,
La haine qui s’enfonce envers tous les horizons
Que la raison qui est renversante par la déraison
Les fortes tempêtes qui bouleversent les océans,
Aucune amitié ne reste-t-elle, et fin des liaisons
La haine intensifie de ses mauvaises livraisons
Je pense, les mers déchaînées aux tourbillons !
IV
Au-dessus de ma photo d’une colombe en rose
Est un souvenir durant ma joie en bonne prose
C’est juste d’encourager mon cœur vers l’espoir,
Actuellement je me stagnais durant cette pause
D’attendre hasardeusement si la vie me propose
Me déplacer envers la lumière ou envers le noir,
Car je me noie péniblement vers l’anamorphose
Laquelle renverse ma conscience et s’use mes os
Devenir peureux de moi-même de voir le miroir !
V
Quelle vie qui s’agite où nous sommes maintenant
Comment s’appelait-elle, et comment est son nom
L’incroyable est arrivé dans ce monde furieux,
Sur la mappemonde de revoir tous les continents
De l’un à l’autre qui est tranquille, je trouve non
De ne rien voir devant, tel le futur est mystérieux,
D’une décennie vers l’autre ça monte les chaînons
Autour de moi chaque nuit d’entendre les canons
Ne sont jamais cessés, et c’est quoi ça mon Dieu !
VI
Se naître et mourir sans voir la lumière du jour
Même la vie est longue, se hâte de son parcours
Tout à coup se passe et ça devient tout en cendre,
Nos pauvres cœurs se brûlent dans les hauts fours
Même le printemps fané et toujours dire l’amour
De l’incompréhension que sans rien comprendre,
La mort qui nous attend, et puis chacun son tour
Le jour d’une allée, et d’y aller sans secours
Ne restera-il plus rien, ni d’acheter ni vendre ! »
-
Poème tombé d’une inspiration médiatique !
Mouloud FATIS, avoue-t-il ses sentiments par l’inspiration qui s’attire hautainement !
Ce poème est diffusé sur Facebook le 22 mars 2012, diffusé encore le 22 octobre 2012 sur Timkardhit « AKKA ».
TIMKARDHIT, Bibliothèque virtuelle de Kabylie
Bienvenue sur ce Blog, espace complémentaire de mon SITE "AKKA" :
Écrit par : Mouloud FATIS | 22/10/2012
Ouadhia Kabylie !
• Vue…
La ville des Ouadhias s’entourait de ses neuf villages du côté Nord du Djurdjura, ceint de l’Est vers L’Ouest, de ses 9 villages !
Le premier grand village et Tagmount el-Djedid, qui est de l’autre côté du chemin de la ville à Ouest-nord des villages de la commune. Le deuxième qui fait face au premier, d’une colline face de l’autre Aït-Hellal, lieu : « de mon Village natal ». Le troisième qui est juste à côté, c’est Aït-Berdjal. Puis s’est tranché en deux sens, l’un qui mène vers le village d’Adragh-Amellal, puis vers l’autre village, Ighil. De l’autre côté de Tizi-bouaffir vers le les autres villages, Taourirt Abdellah, ensuite vers d’Aït-Abdel-Krim, et Tikiouecht, et puis à Aït-Chellala !
Les Ouadhias situés juste en face – Sud – vue du Djurdjura, la haute longue montagne, dont le symbole de la charmante Kabylie ! »
*
«Djurdjura, chaîne de montagnes du Tell algérien (2308 m au Lalla Khadidja !»
*
«Kabylie, nom de plusieurs chaînes du Tell algérienne. On distingue notamment la Grande Kabylie, formée d’une chaîne côtière et du massif du Djurdjura (2308 m, au Lalla Khadidja), et la Petite Kabylie, composée de la chaîne des Babors et des Bibans orientaux. L’insuffisance des ressources (céréales, figuiers, oliviers) oblige les Kabyles de s’émigrent : soit envers la Mitidja voisine, et envers la France. L’émigration des algériens est débutée aux environs de 1930 vers la France, tellement c’était l’Algérie coloniale durant une période de 132 ans, « 1830/1962.
Cette habitude de notre citoyenneté vers la France est une succession à ce jour-ci, car maintenant dans tout l’ensemble hommes et femmes résidants en France. Nous avons une bonne partie d’identité française. Pourrai-je ces deux nations algérienne et française dépendent des liens et du sang de mélanges depuis le départ de la colonisation française en Algérie !
*
- Nom donné : « Lalla Khadidja » La Mecque, 619), première épouse de Mahomet, elle donna naissance à cinq enfants, dont seule Fatima survécut. La première à croire à la mission du Prophète, elle l’encouragea et exerça une grande influence sur lui ! »
*
«Babors : chaîne de montagne, partie de l’Atlas du Tell, culminant à 2004 m d’altitude ! »
*
«Bibans : chaîne de montagne, dans l’Atlas tellien (Algérie), 1735 m. Comprend le défilé des Portes de fer »
Le 22/octobre 2012.
*
Mouloud FATIS : expression héritée de nos histoires ! »
Écrit par : Mouloud FATIS | 22/10/2012
Souvenirs et récoltes
*
Les vieux sont toujours fidèles entre eux surtout les vieux de nos villages qui se plaisantent entre eux au courant des journées printanières et aux soirées d’été, de raconter leurs belles histoires du temps passé de ce qu’ils ont vécu durant leurs traversées ! Comme nos vieux du village, et quand de les voir s’asseoir au bord du village, de mon grand plaisir que j’aille m’asseoir aux côtés d’eux de bien écouter davantage et d’activer peu à peu des moments au courant des ans de ce qu’ils parlèrent surtout aux sujets sur l’émigration ancienne durant leurs périodes de jeunesse. C’est très beau de quoiqu’ils racontèrent, même la vie est très difficile durant ces lointains moments, mais quand-même l’ambiance du loisir existe-t-elle aux de leurs cœurs, par le respect et l’amitié entre les gens de chaque lieu et vivent-ils dans l’amusement par le travail qui ne manque pas surtout dans les pays industrialisés. Nos émigrés ont supporté leurs moments durs durant la machine à vapeur, mais, ils ont tué leur lourde souffrance par la joie vivante et le vif courage de s’avancer peu à peu envers la prospérité future ! Durant ces moment-là, les gens ne s’acharnent pas à la richesse comme aujourd’hui, car vivent-ils dans leur plaisir d’aider leurs familles qui vivent au pays dans la misère lourde aux travaux des champs des collines d’oliviers et de figuiers. Et donc est un souvenir inoubliable par leurs efforts d’une vie pénible durant les longs moments de la domination ! Dieu l’ai avait aidé de s’en sortir joyeusement dont leurs traversées en bonne santé et de pouvoir gagner beaucoup d’œuvres pies envers lui ! Aujourd’hui ne sont plus là, que chaque chose aura sa fin sans distinction ! ALLAH IRHAMHOUM. Dieu tout puissant leur réserve l’accueil en son vaste paradis ! »
Mouloud FATIS : expression aspirative.
(Sujets continues). Le 22 octobre 2012.
Écrit par : Mouloud FATIS | 22/10/2012
L’arbre berbère
*
Les racines, le tronc et les branches !
L’histoire des berbères à grosso modo !
*
Union magrébine raciale berbère.
Maghreb : ensemble des pays d’Afrique du Nord, dont la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, la Libye, et la Mauritanie ! »
*
Berbères, habitants de l’Afrique du Nord depuis la préhistoire, qui parlent différents dialectes berbères. Ils sont actuellement répartis au Maroc : plaine du Sous, Anti-Atlas, Haut Atlas, Moyen Atlas, Rif, en Algérie, Kabylie, béni Mzab, les Aurès, Sahara, au Sud de la Tunisie et en Libye. Certaines populations adoptèrent le judaïsme, d’autres le christianisme, mais, après la conquête arabe en fin du 7ème siècle, la plupart d’entre elles se convertirent à l’islam !
-
Numidie, ancien nom de l’Afrique du Nord, entre le pays de Carthage et la Mauritanie correspondant à une partie de l’Algérie actuelle. Cirta (aujourd’hui : Constantine) en fut la capitale. Les Numides, peuple semi-nomade, sont les ancêtres des Berbères actuels. Leur pays, unifié par Massinissa, fut divisé en royaumes tributaires de Rome, puis réunifié par César en une province romaine d’Africa-nova en 44 avant J. -C. Aussi Maurétanie, la christianisation s’y effectua depuis le 2ème siècle au 4ème siècle, le pays devint le foyer du donatisme. Après avoir été conquise par les Vandales (429-456), puis par Justinien (533-534), la Numidie passa sous la domination arabe en 8ème siècle »
-
Maurétanie ancien royaume berbère qui s’étendait, à l’Ouest des Aurès, jusqu’à l’Atlantique. Ses rois, alliés des romains «Massinissa, 2ème siècle avant. J.-C. ou, au contraire, ennemis de Rome. Jugurtha, vécurent sous la tutelle romaine.
Après l’annexion de la Numidie par Jules César, le reste de la Maurétanie fut organisé en royaume vassal jusqu’à son annexion par Rome en 42 après. J.-C. Ce domaine fut divisé en Maurétanie Césarienne, à l’Est, et Maurétanie Tingitane, à l’Ouest. Cette dernière, correspondant au Nord du Maroc actuel, avec Tingis (Tanger) pour capitale, Sous Dioclétien : en 3ème siècle après, J.-C : fut créée la province romaine de Maurétanie Sitifienne, correspondant à la partie la plus orientale de la Maurétanie Césarienne, avec Sitifis (Sétif) pour capitale. Envahie par les Vandales en 5ème Siècle, soumise à la domination byzantine en 6ème siècle. La Maurétanie fut entièrement conquise par les Arabes à la fin du 7ème siècle.
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Juba I : est mort en 46 avant J.-C. Roi de Numidie, partisan de Pompée, défait par César, il se donna la mort !
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Juba II : Vers 52 avant J.-C. Vers 23 après J.-C. Fils de Juba I, Roi de Maurétanie de 25 avant J.-C. à sa mort. Il rebaptisa sa capitale, Iol, en Cæsarea (aujourd’hui Cherchell).
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Massinissa, v. 238 ¬ Cirta, v. 148 avant, J.-C. Roi des Numides orientaux, allié des Carthaginois, puis des Romains contre Carthage et contre Syphax, roi des Masaesyles (Numides occidentaux).
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Jugurtha, v. 160 ¬ Rome, v. 104 avant, J.-C. Roi de la Numidie. Adversaire des romains, il fut livré à Sylla, questeur de Marius en 15 avant, J.-C. mourut de faim dans un cachot de Rome.
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Algérie : État d’Afrique du Nord, située au centre du Maghreb, entre le Maroc à l’ouest et la Tunisie, à l’est.
Dont son histoire qui remonte à-peu-près à trois millénaires
Carthage puis Rome, après 202 avant, J.-C. se sont contentées d’une suzeraineté sur les princes Numides. En 42 après, J.-C. le territoire algérien fut annexé et constitué en province de Maurétanie césarienne. Les Vandales s’y établirent de 430 à 534, jusqu’à l’arrivée des Byzantins. Les Arabes devinrent maîtres du pays après 720, et l’Algérie passa à l’islam. Jusqu’au 16ème siècle, la rivalité des Arabes et des Berbères, les divisions des Berbères eux-mêmes mirent le pays dans une situation d’instabilité politique permanente. Seul le royaume de Tlemcen demeura prospère du 13ème au 16ème siècle.
Au 16ème siècle, l’Algérie devint une dépendance de l’empire ottoman, grâce aux corsaires turcs appelés pour lutter contre les Espagnols. Le pouvoir administratif fut confié à un dey en 1671.
(dey chef de la milice turque qui gouvernait la régence d’Alger avant la conquête française (1671-1830)
Et Alger devint une base d’action des pirates turcs en Méditerranée. Après la prise d’Alger le 05 juillet 1830, la France conquit progressivement l’Algérie par des campagnes qui durèrent jusqu’en 1857.
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Émir Abd el-Kader, naquit près de Mascara, en 1808 s’éteint à Damas en 1883. Émir d’Algérie, mena la guerre sainte contre les Français, qui reconnurent son autorité sur les deux tiers de l’Algérie : traités de 1834 et 1837, mais il reprit la lutte en 1839. La perte de sa smala, enlevée en 1843 par le duc d’Aumale, fut décisive : réfugié au Maroc, où il fut bientôt jugé indésirable, Émir Abd el-Kader dut se rendre en 1847. Interné à Amboise jusqu’en 1852, il se retira en 1855 à Damas, où il se consacra à la méditation !
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Émir Abd el-Kader fut le héros de la résistance aux Français en 1839-1847, son adversaire, le général Bugeaud, créa l’armée d’Afrique. Le régime appliqué à, l’Algérie apparaît comme une suite d’oscillations et de compromis entre la colonisation, l’assimilation et l’autonomie locale, voulue par Napoléon III. Durant le deuxième conflit mondial de 1939-1945, le pays participa à l’effort de guerre. Alger devint en 1944, le siège du Gouvernement provisoire de la République française. L’impossibilité pour les mouvements d’émancipation nés dans les années 30, d’obtenir l’égalité politique entre les Français et les musulmans, rendit inévitable un nouveau soulèvement.
Un Front de libération nationale : F.L.N. se forma en 1954 et décida l’insurrection générale du 1er novembre 1954. Une guerre commença, marquée par des heurts violents entre communautés et par l’intransigeance des colons européens qui provoquèrent la chute de la 4ème République puis menacèrent la 5ème République (action de l’Organisation de l’armée secrète : l’O.A.S.
Le 18 mars 1962, sous la présidence du général de Gaulle, des accords visant à un cessez-le-feu furent signés à Évian. La France, par référendum, approuva la proposition d’indépendance algérienne, la république fut proclamée le 05 juillet 1962.
L’Algérie indépendante !
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Peu à peu de temps l’histoire berbère continuera envers son achèvement complet par les historiens du Maghreb.
L’histoire des berbères est très longue, car est une histoire très immense depuis plus de 2 millénaires, qui sont camouflés dans la divinité du temps athée, siècles après l’autre à travers des alternances. Plus de 2 millénaires ont succédé durant les dominations atroces de l’une après l’autre qui ont provoqué la déchirure du monde maghrébin – racial berbère – dans son histoire épuisante complètement en miettes, par l’impuissance face à la domination de plusieurs doctrines. Donc, durant la poursuite de cette recherche envers la reviviscence complète de notre histoire raciale, nous fallait-il de nous travaillons dans l’ensemble et dans l’énorme absolu, envers toute la nation maghrébine dont les 5 pays, qu’on doit cheminer main dans la main pour bien pouvoir activer dans l’énorme cette perte de temps.
Notre histoire est vraie, est longue, est belle, qui dépend sa place vers un monde avancé. Ce commentaire historique est qu’une colonne raciale de notre départ à ce jour-ci. C’est indigne de nier notre histoire raciale, car c’est le tronc dont ses racines de notre existence.
La compréhension est un devoir à un seul objectif « la reviviscence de notre racine enterrées depuis plus de deux millénaires, car maintenant nous sommes en 20ème siècle, le monde s’est avancé depuis longtemps.
- Histoire écrite par Mouloud FATIS, par l’aide de mes recherches à travers les documents. La recherche est un rôle d’avancement vers chaque branche, des uns aux autres le monde se rétablira dans l’énorme.
- Comprendre et de faire comprendre les choses qui nous tiennent à cœurs.
- Colonne d’histoire diffusée le 23 octobre 2012. Images : voir Facebook.
Écrit par : Mouloud FATIS | 23/10/2012
L’arbre berbère
*
Les racines, le tronc et les branches !
L’histoire des berbères à grosso modo !
*
Union magrébine raciale berbère.
Maghreb : ensemble des pays d’Afrique du Nord, dont la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, la Libye, et la Mauritanie ! »
*
Berbères, habitants de l’Afrique du Nord depuis la préhistoire, qui parlent différents dialectes berbères. Ils sont actuellement répartis au Maroc : plaine du Sous, Anti-Atlas, Haut Atlas, Moyen Atlas, Rif, en Algérie, Kabylie, béni Mzab, les Aurès, Sahara, au Sud de la Tunisie et en Libye. Certaines populations adoptèrent le judaïsme, d’autres le christianisme, mais, après la conquête arabe en fin du 7ème siècle, la plupart d’entre elles se convertirent à l’islam !
-
Numidie, ancien nom de l’Afrique du Nord, entre le pays de Carthage et la Mauritanie correspondant à une partie de l’Algérie actuelle. Cirta (aujourd’hui : Constantine) en fut la capitale. Les Numides, peuple semi-nomade, sont les ancêtres des Berbères actuels. Leur pays, unifié par Massinissa, fut divisé en royaumes tributaires de Rome, puis réunifié par César en une province romaine d’Africa-nova en 44 avant J. -C. Aussi Maurétanie, la christianisation s’y effectua depuis le 2ème siècle au 4ème siècle, le pays devint le foyer du donatisme. Après avoir été conquise par les Vandales (429-456), puis par Justinien (533-534), la Numidie passa sous la domination arabe en 8ème siècle »
-
Maurétanie ancien royaume berbère qui s’étendait, à l’Ouest des Aurès, jusqu’à l’Atlantique. Ses rois, alliés des romains «Massinissa, 2ème siècle avant. J.-C. ou, au contraire, ennemis de Rome. Jugurtha, vécurent sous la tutelle romaine.
Après l’annexion de la Numidie par Jules César, le reste de la Maurétanie fut organisé en royaume vassal jusqu’à son annexion par Rome en 42 après. J.-C. Ce domaine fut divisé en Maurétanie Césarienne, à l’Est, et Maurétanie Tingitane, à l’Ouest. Cette dernière, correspondant au Nord du Maroc actuel, avec Tingis (Tanger) pour capitale, Sous Dioclétien : en 3ème siècle après, J.-C : fut créée la province romaine de Maurétanie Sitifienne, correspondant à la partie la plus orientale de la Maurétanie Césarienne, avec Sitifis (Sétif) pour capitale. Envahie par les Vandales en 5ème Siècle, soumise à la domination byzantine en 6ème siècle. La Maurétanie fut entièrement conquise par les Arabes à la fin du 7ème siècle.
-
Juba I : est mort en 46 avant J.-C. Roi de Numidie, partisan de Pompée, défait par César, il se donna la mort !
-
Juba II : Vers 52 avant J.-C. Vers 23 après J.-C. Fils de Juba I, Roi de Maurétanie de 25 avant J.-C. à sa mort. Il rebaptisa sa capitale, Iol, en Cæsarea (aujourd’hui Cherchell).
-
Massinissa, v. 238 ¬ Cirta, v. 148 avant, J.-C. Roi des Numides orientaux, allié des Carthaginois, puis des Romains contre Carthage et contre Syphax, roi des Masaesyles (Numides occidentaux).
-
Jugurtha, v. 160 ¬ Rome, v. 104 avant, J.-C. Roi de la Numidie. Adversaire des romains, il fut livré à Sylla, questeur de Marius en 15 avant, J.-C. mourut de faim dans un cachot de Rome.
-
Algérie : État d’Afrique du Nord, située au centre du Maghreb, entre le Maroc à l’ouest et la Tunisie, à l’est.
Dont son histoire qui remonte à-peu-près à trois millénaires
Carthage puis Rome, après 202 avant, J.-C. se sont contentées d’une suzeraineté sur les princes Numides. En 42 après, J.-C. le territoire algérien fut annexé et constitué en province de Maurétanie césarienne. Les Vandales s’y établirent de 430 à 534, jusqu’à l’arrivée des Byzantins. Les Arabes devinrent maîtres du pays après 720, et l’Algérie passa à l’islam. Jusqu’au 16ème siècle, la rivalité des Arabes et des Berbères, les divisions des Berbères eux-mêmes mirent le pays dans une situation d’instabilité politique permanente. Seul le royaume de Tlemcen demeura prospère du 13ème au 16ème siècle.
Au 16ème siècle, l’Algérie devint une dépendance de l’empire ottoman, grâce aux corsaires turcs appelés pour lutter contre les Espagnols. Le pouvoir administratif fut confié à un dey en 1671.
(dey chef de la milice turque qui gouvernait la régence d’Alger avant la conquête française (1671-1830)
Et Alger devint une base d’action des pirates turcs en Méditerranée. Après la prise d’Alger le 05 juillet 1830, la France conquit progressivement l’Algérie par des campagnes qui durèrent jusqu’en 1857.
-
Émir Abd el-Kader, naquit près de Mascara, en 1808 s’éteint à Damas en 1883. Émir d’Algérie, mena la guerre sainte contre les Français, qui reconnurent son autorité sur les deux tiers de l’Algérie : traités de 1834 et 1837, mais il reprit la lutte en 1839. La perte de sa smala, enlevée en 1843 par le duc d’Aumale, fut décisive : réfugié au Maroc, où il fut bientôt jugé indésirable, Émir Abd el-Kader dut se rendre en 1847. Interné à Amboise jusqu’en 1852, il se retira en 1855 à Damas, où il se consacra à la méditation !
-
Émir Abd el-Kader fut le héros de la résistance aux Français en 1839-1847, son adversaire, le général Bugeaud, créa l’armée d’Afrique. Le régime appliqué à, l’Algérie apparaît comme une suite d’oscillations et de compromis entre la colonisation, l’assimilation et l’autonomie locale, voulue par Napoléon III. Durant le deuxième conflit mondial de 1939-1945, le pays participa à l’effort de guerre. Alger devint en 1944, le siège du Gouvernement provisoire de la République française. L’impossibilité pour les mouvements d’émancipation nés dans les années 30, d’obtenir l’égalité politique entre les Français et les musulmans, rendit inévitable un nouveau soulèvement.
Un Front de libération nationale : F.L.N. se forma en 1954 et décida l’insurrection générale du 1er novembre 1954. Une guerre commença, marquée par des heurts violents entre communautés et par l’intransigeance des colons européens qui provoquèrent la chute de la 4ème République puis menacèrent la 5ème République (action de l’Organisation de l’armée secrète : l’O.A.S.
Le 18 mars 1962, sous la présidence du général de Gaulle, des accords visant à un cessez-le-feu furent signés à Évian. La France, par référendum, approuva la proposition d’indépendance algérienne, la république fut proclamée le 05 juillet 1962.
L’Algérie indépendante !
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Peu à peu de temps l’histoire berbère continuera envers son achèvement complet par les historiens du Maghreb.
L’histoire des berbères est très longue, car est une histoire très immense depuis plus de 2 millénaires, qui sont camouflés dans la divinité du temps athée, siècles après l’autre à travers des alternances. Plus de 2 millénaires ont succédé durant les dominations atroces de l’une après l’autre qui ont provoqué la déchirure du monde maghrébin – racial berbère – dans son histoire épuisante complètement en miettes, par l’impuissance face à la domination de plusieurs doctrines. Donc, durant la poursuite de cette recherche envers la reviviscence complète de notre histoire raciale, nous fallait-il de nous travaillons dans l’ensemble et dans l’énorme absolu, envers toute la nation maghrébine dont les 5 pays, qu’on doit cheminer main dans la main pour bien pouvoir activer dans l’énorme cette perte de temps.
Notre histoire est vraie, est longue, est belle, qui dépend sa place vers un monde avancé. Ce commentaire historique est qu’une colonne raciale de notre départ à ce jour-ci. C’est indigne de nier notre histoire raciale, car c’est le tronc dont ses racines de notre existence.
La compréhension est un devoir à un seul objectif « la reviviscence de notre racine enterrées depuis plus de deux millénaires, car maintenant nous sommes en 20ème siècle, le monde s’est avancé depuis longtemps.
- Histoire écrite par Mouloud FATIS, par l’aide de mes recherches à travers les documents. La recherche est un rôle d’avancement vers chaque branche, des uns aux autres le monde se rétablira dans l’énorme.
- Comprendre et de faire comprendre les choses qui nous tiennent à cœurs.
- Colonne d’histoire diffusée le 23 octobre 2012. Images : voir Facebook.
Écrit par : Mouloud FATIS | 23/10/2012
L’arbre berbère
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Les racines, le tronc et les branches !
L’histoire des berbères à grosso modo !
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Union magrébine raciale berbère.
Maghreb : ensemble des pays d’Afrique du Nord, dont la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, la Libye, et la Mauritanie ! »
*
Berbères, habitants de l’Afrique du Nord depuis la préhistoire, qui parlent différents dialectes berbères. Ils sont actuellement répartis au Maroc : plaine du Sous, Anti-Atlas, Haut Atlas, Moyen Atlas, Rif, en Algérie, Kabylie, béni Mzab, les Aurès, Sahara, au Sud de la Tunisie et en Libye. Certaines populations adoptèrent le judaïsme, d’autres le christianisme, mais, après la conquête arabe en fin du 7ème siècle, la plupart d’entre elles se convertirent à l’islam !
-
Numidie, ancien nom de l’Afrique du Nord, entre le pays de Carthage et la Mauritanie correspondant à une partie de l’Algérie actuelle. Cirta (aujourd’hui : Constantine) en fut la capitale. Les Numides, peuple semi-nomade, sont les ancêtres des Berbères actuels. Leur pays, unifié par Massinissa, fut divisé en royaumes tributaires de Rome, puis réunifié par César en une province romaine d’Africa-nova en 44 avant J. -C. Aussi Maurétanie, la christianisation s’y effectua depuis le 2ème siècle au 4ème siècle, le pays devint le foyer du donatisme. Après avoir été conquise par les Vandales (429-456), puis par Justinien (533-534), la Numidie passa sous la domination arabe en 8ème siècle »
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Maurétanie ancien royaume berbère qui s’étendait, à l’Ouest des Aurès, jusqu’à l’Atlantique. Ses rois, alliés des romains «Massinissa, 2ème siècle avant. J.-C. ou, au contraire, ennemis de Rome. Jugurtha, vécurent sous la tutelle romaine.
Après l’annexion de la Numidie par Jules César, le reste de la Maurétanie fut organisé en royaume vassal jusqu’à son annexion par Rome en 42 après. J.-C. Ce domaine fut divisé en Maurétanie Césarienne, à l’Est, et Maurétanie Tingitane, à l’Ouest. Cette dernière, correspondant au Nord du Maroc actuel, avec Tingis (Tanger) pour capitale, Sous Dioclétien : en 3ème siècle après, J.-C : fut créée la province romaine de Maurétanie Sitifienne, correspondant à la partie la plus orientale de la Maurétanie Césarienne, avec Sitifis (Sétif) pour capitale. Envahie par les Vandales en 5ème Siècle, soumise à la domination byzantine en 6ème siècle. La Maurétanie fut entièrement conquise par les Arabes à la fin du 7ème siècle.
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Juba I : est mort en 46 avant J.-C. Roi de Numidie, partisan de Pompée, défait par César, il se donna la mort !
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Juba II : Vers 52 avant J.-C. Vers 23 après J.-C. Fils de Juba I, Roi de Maurétanie de 25 avant J.-C. à sa mort. Il rebaptisa sa capitale, Iol, en Cæsarea (aujourd’hui Cherchell).
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Massinissa, v. 238 ¬ Cirta, v. 148 avant, J.-C. Roi des Numides orientaux, allié des Carthaginois, puis des Romains contre Carthage et contre Syphax, roi des Masaesyles (Numides occidentaux).
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Jugurtha, v. 160 ¬ Rome, v. 104 avant, J.-C. Roi de la Numidie. Adversaire des romains, il fut livré à Sylla, questeur de Marius en 15 avant, J.-C. mourut de faim dans un cachot de Rome.
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Algérie : État d’Afrique du Nord, située au centre du Maghreb, entre le Maroc à l’ouest et la Tunisie, à l’est.
Dont son histoire qui remonte à-peu-près à trois millénaires
Carthage puis Rome, après 202 avant, J.-C. se sont contentées d’une suzeraineté sur les princes Numides. En 42 après, J.-C. le territoire algérien fut annexé et constitué en province de Maurétanie césarienne. Les Vandales s’y établirent de 430 à 534, jusqu’à l’arrivée des Byzantins. Les Arabes devinrent maîtres du pays après 720, et l’Algérie passa à l’islam. Jusqu’au 16ème siècle, la rivalité des Arabes et des Berbères, les divisions des Berbères eux-mêmes mirent le pays dans une situation d’instabilité politique permanente. Seul le royaume de Tlemcen demeura prospère du 13ème au 16ème siècle.
Au 16ème siècle, l’Algérie devint une dépendance de l’empire ottoman, grâce aux corsaires turcs appelés pour lutter contre les Espagnols. Le pouvoir administratif fut confié à un dey en 1671.
(dey chef de la milice turque qui gouvernait la régence d’Alger avant la conquête française (1671-1830)
Et Alger devint une base d’action des pirates turcs en Méditerranée. Après la prise d’Alger le 05 juillet 1830, la France conquit progressivement l’Algérie par des campagnes qui durèrent jusqu’en 1857.
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Émir Abd el-Kader, naquit près de Mascara, en 1808 s’éteint à Damas en 1883. Émir d’Algérie, mena la guerre sainte contre les Français, qui reconnurent son autorité sur les deux tiers de l’Algérie : traités de 1834 et 1837, mais il reprit la lutte en 1839. La perte de sa smala, enlevée en 1843 par le duc d’Aumale, fut décisive : réfugié au Maroc, où il fut bientôt jugé indésirable, Émir Abd el-Kader dut se rendre en 1847. Interné à Amboise jusqu’en 1852, il se retira en 1855 à Damas, où il se consacra à la méditation !
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Émir Abd el-Kader fut le héros de la résistance aux Français en 1839-1847, son adversaire, le général Bugeaud, créa l’armée d’Afrique. Le régime appliqué à, l’Algérie apparaît comme une suite d’oscillations et de compromis entre la colonisation, l’assimilation et l’autonomie locale, voulue par Napoléon III. Durant le deuxième conflit mondial de 1939-1945, le pays participa à l’effort de guerre. Alger devint en 1944, le siège du Gouvernement provisoire de la République française. L’impossibilité pour les mouvements d’émancipation nés dans les années 30, d’obtenir l’égalité politique entre les Français et les musulmans, rendit inévitable un nouveau soulèvement.
Un Front de libération nationale : F.L.N. se forma en 1954 et décida l’insurrection générale du 1er novembre 1954. Une guerre commença, marquée par des heurts violents entre communautés et par l’intransigeance des colons européens qui provoquèrent la chute de la 4ème République puis menacèrent la 5ème République (action de l’Organisation de l’armée secrète : l’O.A.S.
Le 18 mars 1962, sous la présidence du général de Gaulle, des accords visant à un cessez-le-feu furent signés à Évian. La France, par référendum, approuva la proposition d’indépendance algérienne, la république fut proclamée le 05 juillet 1962.
L’Algérie indépendante !
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Peu à peu de temps l’histoire berbère continuera envers son achèvement complet par les historiens du Maghreb.
L’histoire des berbères est très longue, car est une histoire très immense depuis plus de 2 millénaires, qui sont camouflés dans la divinité du temps athée, siècles après l’autre à travers des alternances. Plus de 2 millénaires ont succédé durant les dominations atroces de l’une après l’autre qui ont provoqué la déchirure du monde maghrébin – racial berbère – dans son histoire épuisante complètement en miettes, par l’impuissance face à la domination de plusieurs doctrines. Donc, durant la poursuite de cette recherche envers la reviviscence complète de notre histoire raciale, nous fallait-il de nous travaillons dans l’ensemble et dans l’énorme absolu, envers toute la nation maghrébine dont les 5 pays, qu’on doit cheminer main dans la main pour bien pouvoir activer dans l’énorme cette perte de temps.
Notre histoire est vraie, est longue, est belle, qui dépend sa place vers un monde avancé. Ce commentaire historique est qu’une colonne raciale de notre départ à ce jour-ci. C’est indigne de nier notre histoire raciale, car c’est le tronc dont ses racines de notre existence.
La compréhension est un devoir à un seul objectif « la reviviscence de notre racine enterrées depuis plus de deux millénaires, car maintenant nous sommes en 20ème siècle, le monde s’est avancé depuis longtemps.
- Histoire écrite par Mouloud FATIS, par l’aide de mes recherches à travers les documents. La recherche est un rôle d’avancement vers chaque branche, des uns aux autres le monde se rétablira dans l’énorme.
- Comprendre et de faire comprendre les choses qui nous tiennent à cœurs.
- Colonne d’histoire diffusée le 23 octobre 2012. Images : voir Facebook.
Écrit par : Mouloud FATIS | 23/10/2012
Maghreb, Afrique.
******
-I-
Le littoral, le désert, la mer, d’une vie bonté fameuse
Dont ses nations tenaces, intelligentes et courageuses
Des millénaires sont passés Massinissa pour toujours,
Les Amazighes vieilles nations d’histoire ténébreuse
Dès des siècles successifs dont leur lutte qui creuse
Au fur et à mesure du temps la vie est un parcours,
De vaincre en souffrance d’une atmosphère ennuyeuse
De renaître les nouveautés aux saisons savoureuses
Redonnons le fort courage d’épanouir la bravoure !
-II-
Dissipons ces lourds nuages du gris-ciel printanier
Avant tout de notre encouragement s’être en premier
Semons et récoltons nos charmantes plaines des blés,
Grand Maghreb enjolivé, notre monde des palmiers
Sables dorés, mers argentées, jolies collines d’oliviers
Sahara la Reine des sources d’une beauté jaune sablé,
Mes nobles frères ce n’est pas faciles à être guerrier
Se combattre à l’honneur sans mener la lutte à moitié
C’est une question du courage ne jamais se trembler !
-III-
Cette vie est un combat vers son chemin indéterminé
Tournante pivotante de son présage de chaque année
D’une année vers l’autre ce qui monte et qui descend,
La vie en noir et blanc, bonnes et mauvaises matinées
Les Destins autour de nous sont faits que de tourner
Les races se diffèrent probablement de leurs sangs,
L’être humain est un humain qui domine ou dominé
Qui règne leurs pays dans l’impatience ou passionner
L’enjeu vers chaque race comme la mer ses poissons !
-IV-
Parfois la vie est bonne et d’autrefois se voit mauvaise
Comme le climat dans son meilleur ou de son malaise
Chaque période se naîtra de succéder ses moments,
L’être humain qui ne se fixe jamais comme la punaise
Car son cœur brûle s’avance devant comme la braise
La joie et la tristesse les jours ne sont pas en diamant,
Mettrez des proverbes sensibles entres les parenthèses
Aux teints chanceux soient du signe vendredi treize
De pouvoir distinguer les bons et mauvais moments !
-V-
Cette vie ressemblante à la poignée se sable de mer
De remplir la paume de sable et puis qu’on la serre
Un instant d’ouvrir la main de la voir pleine de sable,
Si la main mal serrée le sable épuise comme de l’air
Des petits trous entre les doigts de s’épuiser parterre
Ainsi que de rouvrir la main de la voir pulvérisable,
Les idées se sont comme ce sujet entre la vie et l’enfer
Chaque nation joue son rôle vers la paix ou la guerre
Chaque lutte ses associés les cléments ou les diables !
-VI-
Le sujet de notre Afrique toujours incompréhensible
Car s’éloigne d’apaisement elle s’est visée par la cible
De quoique nous fallait donc de guérir nos moments,
La guérison de nous-mêmes possible ou impossible
A travers notre continent tous nos pays sont sensibles
Et donc d’où ça vient ça, sans comprendre comment,
Chaque vision de nous-mêmes toujours inaccessible
Se réunir et sans se comprendre d’une pensée terrible
Des millénaires succédés sur le même déroulement !
******
Poème de Mouloud FATIS.
Le 07/02/2013.
Écrit par : FATIS Mouloud | 07/02/2013
Entre hier et aujourd’hui ?
-I-
Le temps est passé, adieu l’envi’ la pensée révise l’arrière
Je revois spontanément les moments des classes des pères
Même durant la pauvreté, la nourriture dépendit de l’envi,
Aujourd’hui toutes les choses ont changée même de l’air
Le courage s’évanouit, devenons tous fané, involontaires
Ce n’est pas notre faute, frères, c’est le rôle de la vie,
La pensée est trop soufferte d’écrivons souvent nos vers
S’inspirons, hommage aux choses renversées à l’envers
Entre hier et aujourd’hui les façades se mettent vis-à-vis !
-II-
Je m’inspire de quoi à vous dire, et de quoi vous inspirez
Est-ce que la vie est encore charmée ou devienne apeurée
J’aime bien savoir vos sentiments de ressentir les choses,
Depuis avant le train est démarré qu’il succédât sans arrêt
A travers le long de chaque année qu’il dépende ses arrêts
S’avance de plus en plus pire et chaque année fane la rose,
Aujourd’hui le temps s’avance qu’on chemine à-peu-près
A travers chaque lieu, par la tristesse le monde s’exaspérer
Les beaux souvenirs mondé par cette vue d’anamorphose !
-III-
Je veux continuer mes vers qui peut-être seront sensibles
C’est delà je marque l’arrêt car le futur toujours invisible
Mais disent-ils : les blés de race s’apparaissent de la terre,
Le moral ruiné de ce changement tombé à l’imprévisibles
Car se tourne d’une année vers l’autre d’une vue illisible
Même les nuages sont pollués aux fumées des poudrières,
Et donc de quoi reste-t-il de ce monde incompréhensible
Le malheur se voit qui se progresse et s’avance infusible
Les choses tristement renversées d’une vision ver hier !
-IV-
Peu à peu ce monde se déplore vers le découragement
Partout les cœurs des êtres se gèlent en blocs de ciment
La crise s’enfonce piano vers ce changement pénible,
Le temps s’avance pas-à-pas noie la clarté des moments
On s’avance à l’allure de ne savoir de quoi et comment
Chaque année qui naisse vers une ouverture impossible,
Chacun espère de son grand souhait le futur en diamant
Mais la fermeture se verrouille vers le bon soulagement
D’une crainte rigoureuse envers un avenir passible !
-V-
Le monde s’avance et se noie dans l’incompréhension
Chacun profite les beaux moments comme les papillons
Qui sortent aux printemps s’envolent de leur joie fertile,
Aujourd’hui n’est plus hier brilla aux jours scintillants
Ainsi que n’est plus hier chemina de sa netteté des lions
Aujourd’hui n’a plus de bonne joie de ce climat en péril,
Si je chante de ma douleur de faire entendre des millions
Je me noie dans l’océan et je m’entourais des tourbillons
De ma lourde peine j’enchante comme l’oiseau des îles !
-VI-
Si je chantais, je le chanterai est une chaleur de mon sang
Je chante à jour, car je chanterai ce que mon cœur ressent
Je chante dans ma douleur telle la vie qui perd le charme,
Je chante qu’en sous-entendre que ma voix n’a pas de son
La poésie s’implantait sur les feuilles et dans les chansons
Dont ce poème d’aujourd’hui qui est tombé des larmes,
Je vois chaque jour et nuits cette vie en plusieurs façons
D’ailleurs elle qui m’apprit chaque jour dont ses leçons
Aux phrases de vive maîtrise d’une cible de leur arme !
Poème de Mouloud FATIS. Le 16 févier 2013.
Ma pensée m’a inspirée d’avoir lu à l’Internet quelques vifs poèmes des maîtres d’écoles français, justement qui m’ont inspiré envers le temps des enseignants aux écoles des pères blancs durant les années 60/70, lesquelles j’ai été l’élève de classe durant ces nobles moments !
Écrit par : Mouloud FATIS | 16/02/2013
Accablement
-I-
L’oiseau étrange s’ennuie seul de sa douleur enfermée
Chante son malheur sans le comprendre de s’exprimer
Solitairement chante d’une branche à l’autre s’envole,
L’oiseau qui chante de sa haute voix par sa vie blâmée
Envers Dieu enchaîne ses phrases chantait de réclamer
Enchaîne ses mots en pamphlets d’équilibrer sa parole,
Parfois sans comprendre ses mots s’envolent en fumée
De voir ses beaux moments noient dans l’océan à jamais
Avoue-t-il sa tristesse sans aucun n’agit à le consoler !
-II-
La vie est une vie des deux façades la blanche et noire
Une façade brillante d’un printemps comme le miroir
Chaque jour dans le doux soleil s’envole en papillon,
L’autre façade noirâtre est comme la nuit de son noir,
Ses moments s’avancent piano toujours dans le retard
Dans une forêt ténébreuse au comportement d’haillon,
La vie à deux figures, belle et moche chacune son quart
L’un qui court derrière le pain l’autre a fait des bazars
Ce n’est pas une force mais est un destin d’ascensions !
-III-
Si j’aurai des mots à dire pour la raison de la malchance
Durant la vie du malaise toujours dans les circonstances
Dans la souffrance résidente l’âme se met vers l’agonie,
Le vieux aux moments lointains accumulé d’expériences
Par sa foi dit-il ses mots pour consolider la convergence
Comme l’oiseau qui fait nourrir ses petits dans leur nid,
Si le monde il chemina correctement dans la providence
L’homme qui se voit un as depuis son temps d’enfance
La vraie richesse des visions qui s’active de l’insomnie !
-IV-
Oh ! Comment traverser cette vie de ce malaise du vent
Par les tempêtes qui tournent ça nous dérangent souvent
Sans être à l’aise le moral se ruine de nos visions voilées,
C’est très difficile comme même de voir lointain devant
Car je pense horriblement l’arrivée d’une fin des savants
Si le beau printemps s’en va-il que l’été sèchera l’azalée,
Dès le départ de la vie le monde peuplé des êtres vivants
De chaque époque ses histoires implantées depuis avant
Si la tolérance se mettra fin, que la vie sera-telle affalée !
-V-
Le monde avance se balance entre le bon et le mauvais
Les visionnaires Dieu leur offre de voir même de rêver
De leurs impulsions d’aider le circuit de la vie infernale,
Les observateurs voient les choses, se sont là d’observer
A tout le temps dont leur travail aux crânes est conservé
Leurs têtes sont immenses chacune est une grande salle,
Peu à peu de chaque chose cheminera de s’être achever
D’une richesse d’offrir à chaque jour qu’il fallait activer
Ça marche même durant l’atmosphère brillante ou pâle !
-VI-
Les moments dont leurs jours apportent leurs nouveautés
Celles qui contentent dont celles se trouvaient en gravités
Chaque pays de sa situation selon sa planification d’être,
Si les consciencieux sont à jour de leurs travaux de bonté
Qui s’enfoncent d’améliorer les choses de leurs lucidités
Tout le malheur qui atteigne le monde va se disparaître,
Car les années succèdent à la va-vite par le temps hâtait
Les souvenirs restent dans leurs époques qui sont abrités
Comme ceux du temps passé d’époques de nos ancêtres !
*
Poème de Mouloud FATIS. Le 27 Février 2013.
Mes textes offerts pour l’Internet de partage des visions entres les uns et les autres, sont réservés juste pour l’Internet ? Je fais appel aux droits d’Auteurs qu’ils protègent mes textes.
Écrit par : Mouloud FATIS | 27/02/2013
Réconfort !
-
Toi & moi !
I
Ce poème est destiné pour toi de te faire revivre,
L’un des beaux jours le printemps relira son livre,
Même les moments succédés de ma jeunesse partit,
M’apparaît-il est une lourde souffrance à survivre
D’une année vers l’autre le courage pèse se givre
Par le vieillissement qui s’approche petit à petit,
L’éclat perd peu à peu son éclat comme du cuivre
Les visions s’enferment envers la pensée s’enivre
Peu à peu le moral surchargé aux poids ressentit,
II
Autour des saisons le printemps naît chaque année
Le soleil qui se lève le jour succède de sa matinée
La joie d’espoir le beau temps fait sourire souvent
Le jour s’éblouit du haut du ciel du soleil plafonné
C’est claire c’est beau à tout le long de la journée
Chaque chose se vieillit le temps s’avance devant,
Les souvenirs s’implantent ne seront jamais faner
Les traversées sont passagères la vie indéterminée
Toutes choses s’en aillent vers l’automne du vent,
III
Aujourd’hui la joie m’apaise gaiement sans cesse
De revoir les très beaux moments de ma jeunesse
Lesquels m’ont ouvert la fenêtre vers le vif amour,
Si la vie tiendra sérieusement sa bonne promesse
Durant mes beaux rêves qui souriaient de sagesse
Je rêvais la nuit lunaire s’éclaire aux beaux jours,
Les souvenirs reviendront vers leur bonne adresse
Mes moments tordirent et peu à peu se redressent
Poursuivre solidement le trajet d’un beau parcours !
IV
Toi et moi nos cœurs se retrouvent et s’enchaînent
Se retrouvons-nous à l’aise comme une vaste plaine
Celle des belles vallées d’une bonne contemplation,
J’ai trouvé de l’eau fraîche celle d’une pure fontaine
Très limpide j’apaise ma soif comme la douce laine
D’élargir mon vaste cœur en l’immensité d’océan,
De mon jour de naissance sans savoir quoi la haine
J’espère mes phrases aussi seront de la bonne graine
De ma vive pensée les mots s’envolent en papillons !
V
Maintenant de quoi reste-t-il de mes phrases à dire
De pouvoir trouver de quoi fera-t-il du beau plaisir
De contenter la nouvelle période de joie printanière,
Dis-moi de quoi préfères-tu au courant de ton loisir
Sans t’oublier de lire les belles pages de ton plaisir
J’espère le teint serein s’éclat de bonne atmosphère,
Je m’escrime de faire revivre les lointains souvenirs
Lesquels de notre contentement du vif climat à relire
De renaître les nouveautés stagnantes dans le repère !
VI
Ce poème qui est tombé du ciel est destiné pour toi
Est un long sujet d’amour que tu vas offrir pour moi
L’affection dans nos cœurs jusqu’à la fin qu’à deux,
Si c’est vraiment la nature s’applique ses vraies lois
Que notre beau programme qui ne sera en désarroi
Et peu à peu de temps réunirons vers le merveilleux,
Notamment cette vie acharnée ne dépendait de la foi
Applique ses choses les bonnes et mauvaises à la fois
De son travail appliqué soigneusement mystérieux !
*
Mouloud FATIS votre poète francophone.
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Le 23 février 2013. Poème d’encouragement.
Petit poème, le sourire
*
Sourire
*
Si je chanterai la joie au contentement de mon jeune âge
Si je trouverai des mots de m'adapter vers un monde sage
D'une puissance j'aurai besoin de faire guérir les douleurs,
Je manifeste de rejaillir les moments à dissiper les nuages
Comme l'oiseau des cieux de repousser mon beau plumage
De vivre à jour dans la joie, ma traversée sera du bonheur,
D’affronter chaque lieu sans se fatiguer de tous passages
Chaque lieu à contempler je lui implante l’histoire sur pages
La gaieté se jaillira dans mon cœur envers chaque heure !
Mouloud FATIS. 23/02/2013.
Écrit par : Mouloud FATIS | 27/02/2013
Consolation !
-I-
Les moments d’aujourd’hui sont difficiles à supporter
Cette vie pénètre les âmes le vif courage est lamenté
Où iront donc ces moments qui nous pénètrent à jour,
Chaque lieu se déplorait dont chaque être se palpitait
Car le monde est victime la prudence n’ait pas dompté
C’est pourquoi nous naviguons à une allée sans retour,
On ne veut pas la vie se remonte vers son éclat reflété
Sinon ces moments qui s’agonisent seront ressuscités
Donc est l’objectif de tous, se mêlons vers le secours
-II-
Si je me noie au-bas des mers de chercher une raison
A dire et redire mes mots même j’enferme en prisons
C’est une valeur de ma lutte d’accomplir mon devoir,
Chaque matin je lève mes yeux à l’alentour d’horizon
Comment d’aligner mes mots à la bonne combinaison
Mes phrases tranchent les visions de rejaillir la gloire,
Les humains vers chaque lieu rendez-vous à la liaison
Le printemps se naîtra encore qui jaillira ses floraisons
Dans ce monde intelligible qui s’éclaire des beaux-arts
-III-
Les beaux-arts de cette vie c’est un sourire de la joie
Est un sourire qui nous contente doux comme la soie
Sans ça nos chers frères ce monde sera-t-il sans bonté,
Si le monde est vraiment strict de cheminer tout droit
Les peuples se retrouvent-ils de bien-être hors désarroi
Passons la belle vie d’ambiance chacun aura sa gaieté
Le crâne porte la puissance est fragile comme la noix
L’être s’escrime de l’intelligence, les yeux, les doigts
Dieu nous a crée tous de même en toute sa sérénité !
-IV
Momentanément je travaille à mon gré par ma pensée
J’analyse les moments vis-à-vis du présent et du passé
J’analyse les teints des jours et nuits quelle différence,
J’analyse l’année de ses saisons des quatre traversées
Je fouille ainsi les époques encore vivantes ou cassées
Je trouve le calendrier amazigh ancien d’expériences,
C’est delà je me mets à réviser des millénaires passés
Comment les siècles qui s’assemblent en fardeau tissé
Donc les époques est une archives de la reviviscence !
-V-
Nous écrivons spontanément nos phrases dont la prose
Par nos ancêtres qui nous ont lassés des belles choses
Les sujets sensés à faire revivre les lointains moments,
L’être humain dont sa création se jaillit comme la rose
Peu à peu aurait l’immense place parmi les grandioses
D’ouverture élargit d’éclats s’éblouissent en diamant,
Un oiseau dès le matin au soir prend l’essor et se pose
Ainsi chaque malaise qui tombe arrive-t-il d’une cause
Chaque chose évanouit vers sa fin ou le soulagement !
-VI-
La vie des deux portes celle d’entrée l’autre de sortie
Depuis avant que les moments s’avancent petit à petit
Chacun des être humain qui sème et récolte sa graine,
Ce monde est bien divisé en tranches sont des parties
Celles paissent dans des blés, que d’autre dans l’ortie
Celles désaltèrent en rivières et d’autres aux fontaines,
Le bonheur n’arrive de rien, arrive de la peine ressenti
Selon les uns dans leurs moments légers ou appesantis
Toujours la fortuite tournante et tombante soudaines !
Poème Mouloud FATIS. Le28 févier 2013.
Tout droit réservé à l’auteur.
Écrit par : Mouloud FATIS | 01/03/2013
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