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21/06/2008

Nuit d’angoisse à Iferhounène (Abdenour Si Hadj Mohand)

 

Kabylie, Décembre 1958

Les hommes et les enfants qui étaient à Michelet, ne sont toujours pas de retour. Un contrôle spécial allait les retenir jusqu’à une heure avancée de la nuit. Plus tard je saurai que les raisons de ce retard étaient dues à l’assassinat d‘un haut gradé français dans la journée du souk, un certain lundi de septembre 1958, que les envahisseurs tenaient à venger.  

Nos soukards, les clients  du souk, du marché si vous voulez, seraient-ils soumis à un contrôle sévère ou tout simplement avait-on pour seul dessein de punir la population pour cet acte  «terroriste» ? ,  ou encore s’agirait-il d’une ruse d’un quelconque stratège militaire assoiffé de sang qui voulait voir le sang des indigènes kabyles couler.

20 heures : nos hommes ne sont toujours pas de retour. Ils sont toujours retenus à Michelet par les militaires de cette localité. Au village, les enfants attendaient leur retour pour se mettre quelque chose sous la dent. Des centaines de bouches d’enfants, ce jour historique, un lundi d’hiver 1958, sécrétaient, comme le chien de Pavlov, la salive sans rien digérer. La peur de mourir, n’avait même pas inhibé leur métabolisme, car ils sont enfants et certains même bébés inconscients. Leur maman n’a rien à offrir à ces bébés, ce jour. Cette maman adulte, elle comprend les dangers qui guettent son mari, ou son enfant de 10 ou 12 ans qui ont disparu comme par enchantement.  

21  heures, rien !

Ce n’est qu’aux environs de 23 heures que notre troupe de soukards, parmi des enfants a été relâché.

Minuit passé : rien n’indiquait un signe de leur  retour. Minuit 30 : pendant que toute la population attendait chez elle, le retour, qui de son père, qui de son fils, qui de son frère ou cousin, une longue rafale partit du camp, déchirant le silence lugubre d’une nuit glaciale d’un hiver montagneux. Puis ce sont toutes les armes du monde qui se sont mises à cracher le feu dans la direction du village. Chose certaine, indiscutable, c’est que les sources des feux se localisaient au niveau du camp. La direction que prenaient ces projectiles : le village. Une précision de taille nous indiquait qu’il ne s’agissait pas d’une attaque opérée par les «fellaghas» pour utiliser l’expression cher au lieutenant PELARDI.  

Nous, enfants de 8 ans, nous savions que lorsque les troupes de Amirouche harcelaient les chasseurs alpins campés à Iferhounène, cela commençait généralement par une sorte de provocation, par un coup de fusil de chasse ou de PA. Puis les armes de tous calibres se sont mises subitement à envoyer leurs salves des quatre côtés du camp.

La riposte se fait évidemment aussi violente qu’imprécises Les sentinelles, souvent des jeunes de 20 ans, qui accomplissant le service militaire, et n’avaient généralement jamais croisé cet ennemi invisible, apeurés, tétanisés  se mettent à tirer dans tous les sens. Au Blockhaus, où se trouve le fusil mitrailleur, on se contentait d’appuyer sur la gâchette sans avoir au préalable fixé sa cible. Une réaction en chaîne de panique des soldats du camp, nous donnait l’impression, nous jeunes enfants sans armes ni protection, que la guerre d’Algérie était entre les mains de gamins qui n’attendaient que l’arrêt des  crépitements des armes pour rentrer chez eux. Ils ne se doutaient pas qu’une balle perdue, ou bien ajustée pouvait emporter une âme d’un vieux, d’une femme ou d’un enfant, dans ces circonstances mais jamais celle d’un fellagha.  

C’est ce qui allait se produire ce jour de début d’hiver 1958 à Iferhounène.

Nos soukards ont eu le temps de franchir par son flanc nord, le camp, en passant sur le sentier tracé , à l’Ubac, face au village Aït Hamou distant d’eux de 200 m à vol d’oiseau.  

La première sentinelle franchie, il n’y’avait eu aucun incident. Ils étaient nombreux ce jour là, des vieux, des moins vieux, et des enfants  de 10 à 12 ans

Mon père était  parmi eux, mon frère Mohamed et aussi mon neveu Mohand El Hacène. Mon père avait 48 ans. En traversant une portion de terrain très escarpée, appelée Amalou qui surplombe le camp, et accompagné de leurs ânes chargés de provisions effectuées à Michelet, l’ensemble des passagers avait maintenant remonté la pente pour se positionner en sandwich entre le camp et le village à un niveau d'altitude égale. Ils avaient maintenant la deuxième sentinelle derrière eux. C’est ce moment qu’a choisi la sentinelle pour ouvrir le feu de son fusil mitrailleur sur les passants  qui pourtant avaient le dos tourné à celle-ci, dans leur progression vers les premières maisons du village, qui se situent à ce moment à moins de 100 mètres du camp  

Malgré le signal donné  par mon père dont l’appel de détresse avait retenti, couvrant les décibels des détonations des armes lourdes qui se sont mises de la partie, son cri de SOS lancé en direction de la sentinelle n’avait pas empêché les tireurs de continuer à cibler cette fois nos hommes et nos enfants qui les accompagnaient. L’appel de détresse lancé par mon père, « ATTENTION S’IL VOUS PLAIT MICHELET », était entendu jusqu’aux fins fonds du village, pourtant très effilé et escarpé à ses extrémités. Le village entier avait entendu cet appel adressé aux tireurs. Mon grand père avait eu cette remarque en entendant cette voix qui lui était familière. Il savait que cet appel ne pouvait venir que d’un Algérien malgré son expression en langue française. Mais il s’était abstenu de supposer quoi que ce soit de peur d’effrayer les enfants  qui tous attendaient leur dîner qui n’arrivait pas. La faute n’est désormais pas à la maman, tous étaient convaincus comme des grands, mais au Roumi qui les a privés de leur ration de survie. C’était comme cela qu’il voulait leur expliquer, au cas où il devait s’agir d’une erreur, qu’ils étaient des passants civils de retour du marché de Michelet. Rien n’y fait. Toutes armes ont continué à tirer  dans le sens du village en direction de passants qui s’approchaient de plus en plus des maisons. Les passants s’étaient mis à courir dans tous les sens pour échapper aux balles assassines. Et c’était à qui rejoindrait le premier, à vitesse effrénée la première maison qui se présentait à lui. Mon frère trébucha juste à ce moment à hauteur de la fontaine du village bien exposée au tir de la sentinelle. Cet incident le sauva d’une mort certaine car l’impact des balles sur le mur blanc de la fontaine témoigneront pendant longtemps de ce crime qui ne dit pas son nom. Mon père avait alors foncé droit devant lui pour se fondre chez les Aït Bouahtmane-Hattab qui l’accueillirent avec tous les soins dont on entoure de coutume les invités de marque chez les Kabyles.

Au bout de quelques minutes un silence de mort s’était installé et les armes se sont tues. Pas une balle de plus, pas un cri même d’animal ; les habitants du village n’étaient jusqu’à cette minute précise informés de quoi que ce soit et ne savaient donc rien de ce qui s était passé à l’exception des familles qui avaient reçu la visite impromptue des revenants de Michelet. Car personne ne pouvait sortir à cette heure et surtout après ce genre d’événements, qui s’apparente à une attaque du camp par les fellaghas. Mon grand père Saïd,  lui comme tout le monde d'ailleurs,  avait pensé qu’il s agissait d’une attaque, comme on en avait l’habitude de vivre presque toutes les nuits et parfois même de jour. Les troupes, ou les arrières du maquisard insaisissable Amirouche ne cessaient de harceler le camp.  

Si-Hadj-Mohand-Abdenour_Fils-de-Fellagha.jpg

 

 

Abdenour Si Hadj Mohand

Fils de Fellagha

Éditions PubliBook

 

Commentaires

Merci GERARD qui a contribué à éterniser ma jeunesse de fils de fellagha , en publiant cet extrait sur la guerre d'Algérie, en tant que témoignage.
Merci mille fois,c'est une noble mission

Cordialement
Abdenour, fils de fellagha
iferhounene.unblog.fr

Écrit par : si hadj mohand | 24/06/2008

je souhaiterais entrer en contact direct avec Monsieur François lamour.son oeuvre sur la kabylie"la baraka m'a beaucoup interessé,les faits historiques rapportés sont d'une valeur certaine.je voudrais completer ma doc,en obtenant queqlues precisions sur des evenemnts que destine à un livre.
merci Monsieur Fraançois de vous manifester soit par mail à l'dersse suivante :
sihadj.abdenour@hotmail.com
ou par phone perso : 00213771264337
abdenour si hadj
auteur de l'ouvrage fils de fellagha
aux editions publibook

Écrit par : si hadj | 15/08/2008

JE VOUDRAIS SAVOIR COMMENT PROCEDER POUR ENTRE EN CONTACT AVEC FRANCOIS LAMOUR
MERCI
ABDENOUR SI HADJ
sihadj.abdenour@hotmail.com

dites moi vous avez évoque deux enseignants pendant la periode 1961-1962 à iferhounene-région sous contrôle du 6°BCA- 2°COMPAGNIE-CAPITAINE FAVIER ET WOLF.
Ne s'agirait il pas de MARCEL et ROBERT, ET PUIS PAR LA SUITE DE MADAME BOUCHER EPOSUE DU LIEUTENANT DE SAS,
LES ENSEIGNANTS SERAIENT ENCORE VIVANTS,

Écrit par : si hadj mohand | 18/08/2008

RUBIR LAKUST

A LAKUST A BU FEΣSIS (1)
BERKA-K LEKDEB TIHILA !

LEDZAYER N WARRAW-IS,
MUHAL MACI N FRANSA.

ATAS I TREKDED LEΣLAM-IS,
MEYYAWETLATIN SNA!

TURA KKREN-D WARRAW-IS
YECREQ YITTIJ-IS,
A TREFREF DI LHAWA.


ROBERT LACOSTE

Oh ! LACOSTE à la bedaine !
Cesse tes mensonges malicieux !
L’Algérie est à ses enfants !
Mais jamais à la France !

Trop longtemps, tu as piétiné son drapeau
130 ans durant.

A présent, ses enfants sont là,
Son soleil brillera,
Son étendard flottera dans les cieux.


Par
SI HADJ MOHAND AINI
Né en 1918

Écrit par : si hadj mohand | 05/10/2008

arrête de raconter n`emporte quoi a lire ton récit je dirai que tu n`as jamais vécu la révolution algérienne,tu es entrain de faire du mal a la révolution.
tu feras mieux de te comprendre toi même,ces moments que tu essayes de couvrir je les ai vécu.
a te lire je comprend que tu n`as pas de cervelle,du fait tu raconte n`emporte quoi,tais toi c`est mieux,tu est fou.

Écrit par : swaili | 13/02/2009

a te lire je comprendrais que tu es un harki.car le contenu ne te convient pas.tu preferes sans doute l'Algerie française,en tous cas pas celle pour laquelle 1 500 000 algériens 30 000 français ont peri
pour ces mots vécus,il y a des fraçais de bonne souche , bienpensants qui les ont egalement narrés.
je n'ai donc pas a rendre service à la revolution , elle se suffit d'elle méme.moi je ne suis qu'une victime collatérale de la guerre, j'en suis cependant fier ,car je n'ai pas sombré dans la harka
iferhounene

Écrit par : si hadj mohand | 13/02/2009

SWAILI ? voila un non qui ne se rapporte à rien. sans doute pour cacher un manque d eprsonnalité

si vous faites parti réellement des hommes qui ont vécu la guerre dignement , vous devriez vous faire connaitre en déclinant votre identité.ne craignez rien , c'est juste pour échanger les info puisque vous vous faites valoir du titre d'acteur de cette guerre.
mais sinon quand on n'est qu'un rouage anonyme , on n'a pas d'avis à donner.taisez-vous donc à jamais,vous troublez la tranquillité des cimetières, vous les profanez même
NB- à vous lire on sent que vous n'avez pas un bon niveau scolaire.commencez donc par retourner à l'école avant de vous mettre à...la science de l'histoire
fils de fellagha

Écrit par : si hadj mohand | 13/02/2009

ça vous dérange,cela veut dire que ce que je narre est juste,vrai , authentique ,mais aussi criminel,génocidaire.Et vous n'avez pas de quoi etre fier.
les certificats médicaux et les certificats de décès le prouvent
il y a une chose sans doute sur laquelle je vous donne raison ; c'est que vous étiez la bas , mais du coté des fsna pour ne pas dire harkis
ayez donc le courage 46 ans aprés l'indépendance de montrer votre figure, non pas pour nous aider à écrire notre histoire mais pour reconnaitre que vous avez tués des civils innocents-
un seul point sur lequel je vous donnerai raison si vous avez de la mémoire si effectivement vous étiez de la partie -2°compagnie du 6°bca-C'est l'année que j'ai rectifié auprès du propriétaire du site internet..Il s'agit en effet de 1957 au lieu de 1958.le reste est absolument authentique confirmé par les archives françaises.
apprenez à communiquer en déclinant votre identité
moi je le fais
si hadj abdenour
iferhounene.unblog.fr
fils de fellagha

Écrit par : si hadj mohand | 14/02/2009

swaili

si vous êtes algérien , et prés de moi. j'en suis maintenant certain.je suis sur que vous aviez choisi une cause qui n'en était pas une. si vous êtes jeune alors votre père est harki, et je dois le connaitre.
désormais je dispose de toutes les archives de nos harkis.y compris ceux qui agissaient en cachette.car il y en avait qui avait tout de même le courage de se découvrir,si l'on peut appeler cela du courage , car coté harki ,je ne leur connaissais que des actes laches
abdenour
fils de fellagha

Écrit par : si hadj mohand | 14/02/2009

iffarhounnene chér iffarhounene tu inspireset tu inspireras la jalousie de tous et toutes ....bravo ayizeme de jurjura si haj mohand


dela part dune haj mohand

Écrit par : lumiére | 15/02/2009

MERCI lumiére HAJ MOHAND
je suis réconforté par ta réflexion qui me semble juste
abdenour
fils de fellagha un jour , fils de fellagha toujours!

Écrit par : si hadj mohand | 15/02/2009

Parution-Histoire et mémoire
Dans le regard de l’autre

Une jeune historienne Algérienne vient de publier à Paris un livre sur la vision de l’ennemi par les moudjahidine. A l’origine, « La guerre d’Algérie vue par l’ALN, 1954- 1962 » est une thèse de doctorat en histoire soutenue par Dalila Aït El Djoudi à l’université de Montpellier.


Une version condensée de ce travail vient d’être publiée par les éditions Autrement. Pour mener à bien ses recherches, l’auteure s’est appuyée sur les archives de l’ALN, exceptionnellement ouvertes à l’occasion, et les témoignages d’anciens combattants de la Wilaya III et de la zone autonome d’Alger. Tout au long de ce travail de longue haleine, il fallait éviter l’écueil de la confusion qui pourrait surgir entre histoire et mémoire. En un mot, ne pas s’écarter de l’événement dans sa globalité avec l’implacable marche de l’histoire et le traitement individuel que l’on peut faire subir à ces événements. Surtout que l’essentiel de cette enquête est menée auprès de 79 témoins. Le panel comportait, à côté des anciens de l’ALN, un tiers de militants issus des rangs du MNA. L’enquête pour avoir une fiabilité scientifique doit aussi croiser les regards de tous les protagonistes de la guerre de libération. La France, comme le souligne l’auteure, a mis 37 ans avant de reconnaître qu’il y avait eu une guerre en Algérie. Cet état de confusion, entretenu de façon délibérée, a beaucoup joué sur la perception de l’autre. Il était donc difficile d’identifier clairement l’adversaire. Du côté des combattants de l’ALN, l’ennemi, auquel on était confronté, était à la fois un militaire qui produisait la violence et le civil qui perpétuait l’ordre colonial. Des fois cette identification dépassait les deux concepts pour atteindre ce que l’auteure appelle « l’entité culturelle » et tout ce que cela charrie comme différences au niveau de la langue, de la religion et des habitudes culinaires et vestimentaires. Cette perception vient en contrepoids au regard de l’autre qui est chargé de toutes les connotations négatives. L’auteure rappelle tous les concepts qui ont fait florès dans l’imaginaire du petit peuple pied noir et de la presse coloniale. Pour beaucoup de soldats français, les moudjahidine étaient une sorte d’ennemi invisible que la propagande militaire ne faisait que rabaisser pour rehausser le moral de ses troupes. La réponse à ces clichés de la dépréciation venait du journal « El Moudjahid », qui essayait, à travers ses articles, de répondre à cette rhétorique coloniale par un discours que l’auteure juge modéré car il mettait en exergue la différence entre l’armée coloniale et le peuple français. Dans cette guerre des mots, l’ALN et ses combattants axaient leurs revendications sur le plan politique tandis que l’administration coloniale ne faisait que perpétuer les stéréotypes et les poncifs générés depuis les premiers moments de la conquête.

- Dalila Aït El Djoudi La guerre d’Algérie vue par l’ALN, l’armée française sous le regard des combattants Algériens, Edi. Autrement (Paris, 2007).


Par Slimane Aït Sidhoum
repris par iferhounene.unblog.fr

Écrit par : si hadj mohand | 15/02/2009

de la part de la lumière incessante sur idhourare fier du djurdjura coeur des glorieux héros amirouche lala fathma et d'autres izmawene vrais aussi vrais que le soleil ...jalouse de ma patrie et thamourthiwe je ne cesserais d'ecrire et de lutter pour que la verité soit le flambeau des générations futures ....espérant que des plumes limpides comme l'eau des sources de ain el hamam(exmichelet )coule et arrose notre histoire ...des plumes comme la lumineuse plume de haj mohand je vous salut abdenour si haj mohand......ifarhounéne pour toujours

Écrit par : lumiére | 19/02/2009

Vos paroles sont belles comme le jour. On dit que l'intelligence de l'homme c'est la femme et vice-versa. Vous réveillez en moi des souvenirs et des sentiments beaux et amers à la fois... et vous restez tout de même secret sur votre petite famille. Tant pis si je ne sais pas encore combien d'enfants vous avez ni ce qu'ils font.
On dit qu'une jolie femme plait à un homme, qu'une femme intelligente suscite son admiration, une femme riche sa convoitise.. et que seule la femme douce, compréhensible et sensible décroche son cœur à la fin. Comme quoi, les hommes savent ce qu'ils veulent..

Écrit par : si hadj mohand | 20/02/2009

merci pour tout ce que vous faites ,aussi je voudrai savoir ou peut on trouver le livre à 18 jours du cessez-le-feu car j'ai trouvé les noms de nos quatres valeureux martyres tombés au champ d'honneur

Écrit par : ait taleb | 19/12/2009

je n'ai pas eu vent de ce livre
dites moi l'auteur et l'editeur, je me ferai un plaisir de l'acheter
www.editionmonde.com

Écrit par : si hadj mohand | 19/12/2009

desormais le livre de Abdenour Si Hadj Mohand "ZAHRA, LA LEGENDE DU DJURDJURA" est disponible sur Amazon sous format pdf- sur kdp
http://www.amazon.fr/dp/B00DTAWT6Q

Écrit par : si hadj mohand | 04/08/2013

desormais, l,histoire du 6 eme BCA de 1956 a 1962 en kabylie est disponible sur Zahra, la legende du Djurdjura
http://www.viaouest.com/biblio1492113212.html

Écrit par : si hadj mohand | 29/09/2013

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