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18/01/2010

Pères Blancs et Sœurs Blanches (Bahia AMELLAL)

 

2. Histoire d'une implantation 6-8

C'est cette Kabylie démunie que Charles Lavigerie, archevêque d'Alger (1867-1892), cible pour lancer sa large opération d'évangélisation : L'Algérie n'est qu'une porte ouverte sur un continent, disait-il. La grande mission Africaine, prend son point de départ en Algérie avec une première implantation des missionnaires d'Afrique, appelés par la suite Pères Blancs, à Taguemount-Azouz le 15 février 1873. Cette mission a, ensuite, traversé les frontières kabyles pour s'étendre au Sahara et rejoindre ensuite d'autres pays africains.

Tout cela démarre une fin d'avril, en 1872. Mgr Lavigerie en visite pastorale à Fort-National (Larbaâ-Nath-Irathen), demande que l'accompagnent des orphelins kabyles provenant des famines de 1867­-1868, transférés au centre des Attafs à Orléansville (El-Asnam). Lorsque la petite troupe arrive non loin de Fort-National, les enfants s'écrient : C'est notre village ! C'est Taguemount-Azouz ! 6

Ainsi, le 2 février 1873, des Pères quittent Alger pour Taguemount-Azouz. Ils font escale à Fort-National où la neige les contraint à l'immobilisation pendant quatorze jours. Ce n'est que le 15 au soir qu'ils atteignent les At-Aïssi, où l'Amin et les notables de Taguemount-Azouz les conduisent à la demeure qu'ils ont louée. Le propriétaire leur apporte une natte, une galette et un peu d'huile. Dans la maison où nous venions de nous installer, on remarquait pour tout ornement quelques jarres kabyles destinées à recevoir l'orge et les figues, un poêle servant à la fois de foyer et de cuisine, en face se trouve un bien modeste autel, fait d'une planche et de quelques linges, en dessous coulait un ruisseau destiné à la salubrité de la maison. Les tables y étaient inconnues et chacun écrivait où il pouvait. Le soir venu, on se disposait à prendre soit repos sur le sol mais il n'était pas rare de se voir troublé au milieu de son sommeil par des gouttières importunes 6. L'habitation est voisine de celle de l'Amin qui, peu enchanté d'avoir de tels voisins, propose un emplacement plus spacieux à l'entrée du village.

Les religieux se mettent vite à l'œuvre pour gagner les cœurs. D'abord une école aménagée dans un gourbi que seuls quelques très rares récalcitrants fréquentent. Ils écrivent sur les cantines des Pères. Les notables à la tajmaâït interdisent l'envoi des enfants chez ces chrétiens. En 1874, rien que deux enfants. Des « recruteurs » d'écoliers sont engagés. Ils perçoivent 50 centimes à chaque nouvelle « tête ». Un père punit son fils en le suspendant par les pieds à une poutre car, poussé par la curiosité, il s'est rendu à cette école. En 1891, une cinquantaine d'adultes de 15 à 30 ans fréquentent les cours du soir. En 1923, on crée une troisième, puis une quatrième classe pour arriver à une école digne de ce nom.

Pendant ce temps de nouveaux Pères arrivent et parcourent les villages avoisinants. Il faut multiplier les postes.

 

3. Etat des lieux à l'arrivée des Pères-Blancs 2-5-9

Le cas des At-Yanni est une belle exception. L'école Jésuite destinée aux autochtones est créée en 1873, à At-Larbâa ; elle revient en 1883 aux Pères Blancs et continue de recruter des élèves. Cette année 1883 voit aussi la naissance d'une école publique française, à Taourirt-Mimoun (école que fréquentera, plus tard, Mouloud Mammeri). Avec ses trois classes, cette école ministérielle est la plus vieille école française d'Afrique. Une école manuelle (existe) aussi, à At­-Larbâa. Un privilège qui a donné aux At-Yanni une avance intellectuelle et manuelle sur leurs voisins. À Fort-National, il y a l'école des arts et métiers née en 1867 et l'orphelinat de Taddart­-Oufella fondé en 1884 6-9. À Djemâa-Saridj, deux classes Jésuites ouvrent en 1873, pour 112 enfants âgés de 9 à 18 ans. En 1875 c'est une grande école, à l'ombre des hêtres, qui émerge de la terre de Djemâa.

 

4. Arrivée des Sœurs

1878 : les Sœurs sont installées aux Ouadhias. D'autres rejoignent les autres postes où leurs collègues, les Pères, se trouvent. L'école féminine va s'imposer à chacun de ces postes pour apporter à la fille kabyle sa part d'enseignement. L'adjonction d'un ouvroir et d'une section ménagère à l'école renforce la formation de ces fillettes à tous les niveaux : maîtrise de la langue d'enseignement, initiation à des travaux appropriés et adaptés aux usages locaux tels que l'hygiène domestique, la puériculture et l'instruction ménagère (couture, repassage, tricot, lessive...). 6-7 9

 

Références

2. Alfred Rambaud. Les écoles françaises d'Algérie chez les kabyles. Revue : L'illustration. Août 1891.

5. August Veller. Monographie de la commune mixte de Sidi-Aïch (1888). IBIS Press, 2004.

6. François Dornier. En Kabylie. Au fil des jours, sur les pas des Pères Blancs. Taguemount-Azouz, Les Ouadhias, Taourirt-Manguellat, Iberkanen. Bry-sur-Marne, novembre 2004. (Manuscrit non publié).

7. Karima Dirèche-Slimani. Chrétiens de Kabylie. 1873-1954. Une action missionnaire dans l'Algérie coloniale. Editions Bouchène, 2005.

8. Antony Philippe. Mission des Pères Blancs en Tunisie, Algérie, Kabylie, Sahara. Edition Dillen, 1930.

9. Fathma Ath Mansour Amrouche. Histoire de ma vie. François Maspéro, 1968.

AMELLAL-Bahia_La-Ruche-de-Kabylie.jpgBahia AMELLAL

La Ruche de Kabylie

(1940-1975)

 

Éditions ACHAB

Tizi-Ouzou ; 2009

 

Pages 20 à 24

AMELLAL-Bahia_Tableau-page33.JPG

 

 

Commentaires

et c'est grâce à ces écoles que nous avons eu une certaine élite kabyle et qu'on a pu faire un contrepoids au baathisme ....mais bcp reste encore à faire

Écrit par : TAHAR | 18/01/2010

c'est émouvant car mon père né en 1910 a fréquenté l'école des pères blancs de aourir At menguellet toute sa scolarité primaire et peut-être même plus ... si seulement il existait une liste de noms...

Écrit par : nadia | 18/01/2010

Ma soeur Houria Haballa était abeille de l'essaim blanc à Ouarzene!
j'ai revue soeur Marie de Maylis à verriere en France quelques temps avant son deces!!elle m'a confié des photos!!!
dans la meme classe des années plus tard ,j'ai enseigné l'anglais!!!la ruche est devenue un college!!

Écrit par : djazia | 25/02/2010

je pense que farid est un petit cousin je connais sa mère que dieu ait son ame, vous etes la soeur de houria dont j'ai un vaque souvenir,l'école de ouaghzen tient encore debout ou a été détruite, je viens d'apprendre que soeur marie est décédée, j'ai été à la ruche chez elle que de souvenirs, ma maitresse était soeur philippe décédée aussi

tout a changé, le niveau est trop bas maintenant hélas

Écrit par : chabha | 12/03/2010

Non elle est encore debout!il y a un groupe: Anciens de OUARZENE! ns vs invitons à en faire partie!
Bien sur! il y a un beau nouveau college sous la route!!
le niveau n'est pas si mauvais!!!Je pense que c'est une idée tte faite!!!mes élèves ont pour la majorité réussi meme à l'étranger!!
AVEC RESPECT ,JE VOUS EMBRASSE!!!
je cherche les paroles d'une chanson: DJAZIA!!!

Écrit par : djazia | 28/03/2010

Ma mère a été à l'école de Ouarzene avec Soeur Philippe et Soeur Marie Elle nous raconte que des bons souvenirs Aujourd'hui ma mère est agée et malade je cherche une structure ou une maison qui acceuille les anciens de Kabylie près de NICE ou PARIS ou éventuellement une personne de Kabylie , la soixantaine, qui pourrait l'aider à domicile ou lui tenir compagnie à Nice.

Écrit par : OULD YAHOUI | 01/08/2010

les paroles de DJAZIA sont justement dans le livre LA RUCHE DE KABYLIE écrit par Amellal Bahia

merci et bravo pour cette femme, une idée géniale qui nous permet à nous qui sommes à l'etranger de revivre le passé kabyle
tassa

Écrit par : une lectrice | 06/12/2010

en lisant ceratins commentairs , je me vois plongé dans la nostalgie . je suis en effet eleve des peres blancs d oughzen . je me rappelle tres bien de la ruche ds soeur blanches .mais je garde surtout en memoire pere bellek et pere genevoix , ce dernier a ecrit beaucoup sur la kabylie mais ss livrs restent introuvables . je souhaite qu on m oriente afin de lire pere genevoix merci d avance

Écrit par : ouladi | 18/12/2010

J aimerais savoir tout sur le christianisme je m interesse beaucoup

Écrit par : aberkane djamila | 04/05/2011

Bonjour la famille de mon mari est née en Algérie et est chrétienne,ma belle mère est allée a l'école des soeurs blanches jusqu'à ses 18 ans probablement a Ighil Ali, ma belle mère s'appelait Georgette Rebouh

Sylviane

Écrit par : Zahoual sylviane | 23/09/2011

Mon père BESTANI Belkacem DU DOUAR FRIKAT né en 1908
a fréquenté l'école des Pères Blancs. Merci à tous ceux qui pourraient me donner des renseignements de par leurs parents.

Écrit par : gherissi | 30/11/2011

Mon père BESTANI Belkacem DU DOUAR FRIKAT né en 1908
a fréquenté l'école des Pères Blancs. Merci à tous ceux qui pourraient me donner des renseignements de par leurs parents.

Écrit par : gherissi | 30/11/2011

c'est un livre que j'ai lu : il est parfait et mérite d’être à la une

Écrit par : abdelli | 05/02/2012

Cette auteure a réveille en nous tant de souvenirs passes, bons et mauvais. C'est la preuve qu'elle a réussi son travail. J'aimerai la féliciter. Nafaa

Écrit par : Nafaa | 23/06/2012

Au regard des données historiographiques, le futur Cardinal Lavigerie aurait engagé un mouvement d'évangélisation dans les contrées du Zab (région de Biskra) où - suite à la famine qui sévit dans la région ers 1867 - il se pencha sur des jeunes orphelin(e)s.
Parmi ces derniers, nous pourrions retrouver Belkacem BENSEDIRA: un précurseur de l'enseignement de nos langues dialectales (arabe dialectal et kabyle). Cette personnalité est citée mais peu étudiée dans les milieux berbérisants, ces derniers privilégient les travaux de M.S.BOULIFA.
De Biskra, toujours, un membre de la Grande Famille des BENGANA avait bénéficié d'un lopin de terres du côté des Béni-Yanni: quels rapports du point de vue historiographique? Notre intérêt, dans le cadre de l'écriture de l'histoire (scolaire et autre) sur la société algérienne des Kabylies, ne serait-il pas intéressant?
Boualem

Écrit par : SAADI | 09/10/2012

je voudrai juste feliciter cette ecrivaine qui nous a tant choyé avec son beau livre, on se retrouvé, merci encore pour
bahia amellal
radia

Écrit par : radia | 12/10/2012

Je découvre aujourd'hui vos commentaires et encouragements et tiens à vous en remercier. Je me réjouis du fait que ce livre ait pu réveiller en vous des souvenirs anciens, bien que pas toujours gais.

Je constate aussi, avec satisfaction, que cet espace vous permet de renouer avec des connaissances perdues.

Amicalement,
Bahia Amellal

Écrit par : amellal | 12/10/2012

je n'ai pas pris connaissance de votre livre ,mais je me ferais une joie de le lire ,les peres blancs ont été toute ma jeunesse,d'Alger exactement du college de l'Avigerie ,je connaissais les villages ou tous les peres blancs sont installés depuis des descénies en kabylie dont beaucoup ont disparus aujoud'hui mais leur histoire et leur trace resteront eternellement.

Écrit par : Dergaoui Smael | 12/10/2012

le titre du livre c LA RUCHE, c a ne pas manquer de le lire,
il va vous rejouir, bonne lecture

Écrit par : radia | 12/10/2012

elle a aussi ecrit un livre intitulé
DANS LE GIRON DE LA MONTAGNE,
c a lire , il es super
merci a lecrivaine et bnne continuation

Écrit par : Hassen | 12/10/2012

ou peut on se procurer la ruche, je ne l'ai pas trouvé dans les librairie à alger, bahia, si soeur marie vous a donné des photos, comment faire pour les voir

Écrit par : chabha mahiout | 17/10/2012

Je suis intéressèe par les travaux du père Genevoix , en particulier sur un herbier qu'il a réalisé quand il était à Ouarzene !Quelqu'un pourrait-il m'informer à ce sujet? merci

Écrit par : Djazia | 23/01/2013

djazia vous etes la soeur de horia, je me souviens vaguement d'elle, elle est plus agée que moi sans doute, mais vous je ne vous connais pas avez vous etudiez a ouagh zen

Écrit par : farida | 10/04/2013

djazia haballa où peut on trouvr le livre la ruche, a alger il est introuvable, je le possédais, mais perdu merci de me renseigner

Écrit par : farida | 11/04/2013

Bonjour à tous
Ma mère qui a 88 ans faisait aussi parti de la Ruche à Ouaghzen et j´ai lu un message de djazia daté du 25/02/2010 disant qu´elle avait recu de soeur Marie de Maylis des photos. Serait il possible d ´en avoir une copie pour ma mère avec son age avancé elle serait si contente. Merci

Écrit par : Martine | 13/09/2013

salut à tous, maman me parle souvant des abeilles et de la ruche de ain el hammam...

Écrit par : dalila | 24/11/2013

je vous salut tous , ma mère chérie nous racontez tous ce qui se passe a la ruche , ma belle mère a fait partis amellal fetta un grand hommage a toutes les personnes qui ont vecus cette belle époque encore une merci bahia amellal pour ce que tu fait je vous embrasse

Écrit par : abdelli | 07/05/2014

Sincèrement ému.
Ces soeurs et les pères blancs de Oughzen, ont beaucoup apporté à la région et surtout à Taourirth menguelat. cette ruche,comme elles aimient l'appeler publiait un petit journal qui s'intitulait,l'abeille.
Mes deux soeurs ont été chez les soeurs blanches (dont soeur Marie de Maylis ) dans cette école de ouaghzen.
Nous même gamins, on avait une chansonnette "soeur Marie a égorgé une brebis"...
Mes soeur Ouardia décédée,et Fatma (encore vivante mais alitée),leurs amies, Faroudja nath Slimane et Yamina Nath Saadi.. (décédée) se rencontraient souvant..
Partagez les photos, svp,et surtout s'il reste des copies du livre "thizizwith".Ma soeur Fatma a eu la chance de revoir soeur Marie en france.Elle est toujour hereuse de parler de cette enfance..Elle est malade,priez pour elle.Cette école de Ouaghzen est actuellement vide,vous pourrez la reprendre,avec un peu de courage,pour en faire une association,pourquoi pas "la nouvelle ruche" là,Mon num 0553226091.

Écrit par : silhadi | 02/08/2014

Bonjours à toutes les abeilles.
Je suis la fille de Ferroudja Ait Slimane (Famille Medgueb), élève de l'école des soeurs blanches de Ouaghzen,j'ai eu la chance de garder contact avec soeur Marie de Maylis depuis Bayonne jusqu'à, si on peut appeler ça le moratoire, de Verrière le Buisson. J'ai également été là le jour de son enterrement.
Vous pouvez contacter ma mère à Alger au 021 96 47 38 ou au 05 59 40 84 41. Elle me parle toujours de son amie Fatma Silhadi. En ce qui me concerne, je suis fascinée par cette époque qu'ont vécu nos parents et je projette d'écrire des mémoires dès qu le temps me le permettra.
Félicitations Bahia pour votre livre que ma mère a eu le plaisir de lire cet été et d'y retrouver pleins de souvenirs.
J'aimerais également avoir des photos.
Rosa Belkhodja

Écrit par : rosa | 05/09/2014

Mme Rosa Belkhodja.
Recevez mes sincères remerciements.
Je vais prendre contact avec votre Mère.

Écrit par : silhadi | 07/09/2014

Je vous en prie, ma mère m'a dit que vous avez pris contact avec elle et elle est sincèrement impatiente d'aller la voir, n'hésitez pas à la recontacter pour convenir d'un rendez-vous.
Bon courage et embrassez tata Fatma pour moi car moi aussi j'ai eu la chance de la connaître quand j'accompagnais ma mère.

Écrit par : rosa | 07/09/2014

Merci à Mme Rosa Belkhodja.
Les retrouvailles ont finalement eus lieu.
Que d'émotion...
Imaginez que toutes petites abeilles (équivalent scouts pour garçons,années 1940), elles allaient en colonies de vacances à Rivet (Meftah), Taguemount Azouz, le figuier...beaucoup d'émotion en écoutant tous ces souvenirs..elles ont bien rigolé.
Mme Amellal, excusez mon intrusion dans votre blog qui normalement concerne la ruche et ses abeilles...
Grâce à vous ma sœur a eu un moment de joie. Merci et bonne continuation.

Écrit par : silhadi | 09/09/2014

Bonjour,
J'ai effectivement su que les deux abeilles se sont retrouvées après quelques années de séparation. Ma mère m'a parlé de tante Fatma cet été et en me disant qu'elle l'avait perdue de vue et qu'elle aimerait tant la revoir. C'est par hasard qu'une autre abeille (Djazia) sa petite soeur, en cherchant des informations sur soeur Marie à vu votre appel et m'en a parlé.
Merci encore à Mme Amellal qui nous a tous réunis sur son blog.
Rosa

Écrit par : rosa | 10/09/2014

bonjour Sylvianne vous êtes la fille de Georgette Rebouh; ma mère la connait bien et était aussi l'amie à ma grand mère, elle m'a parlée de vous et de votre famille, votre frere Julien est à l'eglise d'alger, je lui ai téléphoné pour me présenter..il n'a plus revu ma mère depuis qu'ils étaient gamins (12 ans) il était content de m'avoir au bout du fil.

Écrit par : dalila | 26/10/2014

voila je suis de la familles MAHIOUT issu de la génération des année 1970 origine du villa ouaghzene athmangullet j'ai vraiment entendu parlez de votre génération et j'ai connus julien magkane

Écrit par : MAHIOUT HOCINE | 09/11/2014

A l'intention de Mme Djazia.
Vous parlez dans 'un de vos commentaires de photos que vous a confié Soeur Marie de Maylis.
Je serais heureux de les voir et si possible d'en faire des copies les faire partager à taourirt menguelat,ainsi que ma sœur Fatma Silhadi serait heureuse de les voir.
J'ai des photos à partager, concernant l'école de ouaghzen que j'ai pu télécharger et reçues des archives des pères blancs.
quelques unes sont sur ma page facebook:Taourirt Menguelat.
bonne continuation.

Écrit par : silhadi | 03/12/2014

bonjour, je suis étudiante et actuellement je prépare une thèse sur les écoles des pères et sœurs blanches, les commentaires que je viens de lire m'ont bcoup touchée. je me demandais si je pouvais avoir un contact qui pourrais me renseigner sur cette époque merci. je vous laisse mon numéro: 0556544146

Écrit par : samia-s | 09/12/2014

Vous parlez dansl 'un de vos commentaires de photos concernant l'école de ouaghzen et des archives des pères blancs.
Je serais heureuse de les voir et si possible d'en faire des copies l

Écrit par : samia-s | 11/12/2014

je vous invite a visiter la page Taourirt Menguelat sur facebook (comme c'est écrit).je partage certaines photos des abeilles de la ruche de ouaghzen..Je serais heureux d'avoir les noms de toutes ces petites abeilles.
si vous êtes intéressées par les photos ,communiquez vos adresses email,je vous enverrait des copies..
bonne continuation.

Écrit par : silhadi | 10/02/2015

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